AIGUILLES-BAS SANS DESSOUS

DENTELLES GLAMOUR sur une toile de ROBERT AUGIER

 

 

 

 

Il est parmi mes connaissances un artiste peintre dont j'affectionne particulièrement le talent !

Une raison à cela ? Son approche de la femme , le choix de ses couleurs , les ambiances sensuelles dans lesquelles il nous plonge 

Cet artiste de talent est ROBERT AUGIER que vous pouvez découvrir ici

 

ROBERT AUGIER;Un regerd singulier sur la Femme

 

 

 

 

 

Une de ses oeuvres  "DENTELLES GLAMOUR " m'a inspiré un poème que je vous offre ici 

 

 

Quelques grammes de dentelles en murmures élégants                                       

Affolent le sensuel de mon tempérament,

De cette dose infime de la féminité

L’effeuillage magnanime de sa frivolité !

 

Dans un jeu d’ombres propice aux errances érotiques,

Elle exhibe sa silhouette en rouge magnétique

De ses chevilles fines à la chute de ses reins

La nudité l’habille pour un nouveau dessein

 

Mon regard s’éparpille, affolé des splendeurs

Que m’offrent, dans l’impudeur ses fatales rondeurs,

De sa cambrure osée à son cul haut perché,  

De sa nuque gracile à ses seins débauchés !

 

En délicieux succube, elle m’invite à l’audace,

M’entraine dans son parfum revêtu de sa grâce,

Jalonne de mouvance le jeu de ses désirs,

M’invite, sans nuance à lui offrir le plaisir   

 

©2019 Mysterieuse

COMPLICITE

D'une amitié avec un ami photographe , est née une complicité artistique 

Lorsque l'homme est à l'honneur , les rimes se font douces ,les émotions fantasmagoriques...

 

Sa pertinence à me séduire

N’a d’indécence que son sourire,

Derrière ses mains il joue des ombres

De son regard aux reflets sombres !

 

L’éclat pervers de l’impudeur,

Offre à mon âme ses clameurs,

Réclame de moi de l’insouciance

Mon évasion vers son errance !

 

Les jeux sont faits rien ne va plus

Il a misé sur ma vertu,

Je m’abandonne à ses détours

 A son audace, laisse libre cours

 

Sa rhétorique se fait experte

Dans ses folies les plus muettes,

 Le plus suave de son langage,

Seul son sourire pour bagage !

 

Crédit photo : https://www.instagram.com/olivier_c_photographe

 

 

SILHOUETTE

 

 

 

 

 

 

Fidèle à nos saveurs d’un Amour muri au soleil de nos cœurs,

Elle aime au seuil de nos ébats, savourer dans la tiédeur de notre boudoir secret,

Les fragrances enivrantes de nos corps déchirés de s’être trop aimés.

Elle conjugue alors plaisir évanescent et tendresse mordante, m’offrant sa silhouette d’indécente femelle encore malmenée par ses sens aiguisés

Son entrecuisse brille dans la pénombre complice de notre félicité,

Son échine encore frissonnante des morsures abusives dont je l’ai tatouée, me renvoie de ses courbes les plus beaux attributs , la rondeur de sa lune pudiquement camouflée des froissures parfumées des draps désordonnés.

Le gracile de sa nuque,

Ses bras auréolés au dessus de sa tête tentant de restaurer le chignon éméché de la diabolique coquine,

Sont autant de symboles de sa féminité que mon regard capture à jamais pour que perdure,

L’image de L’Amour dans une silhouette !

 

© 2015 Mysterieuse

 

 

  

 

L' INDÉCENCE RETROUVÉE

 

     

 

 

 

 

Si l’ingénue persiste parfois dans ses sensuels ballets, elle sait aussi déroger aux règles de sa décence. Pour des raisons qu'elle est la seule à connaitre, elle peut à tout instant me surprendre de sa légèreté. L’impudence est là, au cœur de sa spontanéité à dévoiler son corps dans les décors étranges de son boudoir dont elle m’offre parfois le code pour y entrer.

Une émergente imagination fait partie intégrante de sa provocation, de sa détermination à vouloir m’accabler de suggestifs scenarii.

 Chacune de ses pauses, des plus sages aux plus osées, ont ce talent de me faire bander. Mon imagination n’a alors plus de limite et la rejoint dans ce monde diabolique que pour moi, elle a inventé, le temps d’une mise en scène, un corps à corps avec elle –même, un corps à cri, en jouissance extrême …Solitude féline écorchée de « je t’aime » pour un absent qu'’elle veut obscène quand le plaisir lacère son ventre et ses envies.

  Mon esprit s’envole en volupté vers les secrets intimes de son sexe lisse et nu, juste à peine voilé de ses fragrances érogènes

Je connais son secret orgasmique pour y avoir gouté…et jamais je ne pourrais l’oublier !

 

Indécence retrouvée…L’a-t-elle jamais perdue ? Si tel était le cas, inutile de chercher, car je l’aurais gardée comme un trésor parfait pour lui restituer à notre prochaine collision. Ne parlons pas de retrouvailles car  dans "retrouvailles" il y a ce "re" qui me perturbe, qui me crucifie...

 Lorsque l'on fait une trouvaille de cet ordre, de cette densité, de cette intensité, de cette force, on n'a pas envie de la lâcher!

 

© 2013 Mysterieuse

 

SUR UN AIR DE SATIE

 

            

 

 

 

 

La porte entrebâillée, l'odeur du parquet ciré, des tentures poussiéreuses. Elle est là, assise sur le tabouret de velours pourpre, dans sa plus pure féminité, sa nudité.

Sur un air de Satie, elle laisse ses doigts courir sur le clavier, et je suis incendié par tant de simplicité.

Pourquoi la vie est si belle, lorsque je pose mes yeux sur elle, elle qui effleure l’ivoire d’un vieux piano sans âge !

Chaque touche frissonne sous l’empreinte fragile de ses doigts musiciens. Je suis presque jaloux de l’effet qu’elle leur fait .La mélodie s’imprègne de sa luminescence, cette implacable élégance d’une femme envoutée par le battement d’un cœur secret.

Elle s’évade rêveuse, son corps en est témoin. Il s’exprime et ondule, de sa croupe d’airain à sa noire chevelure .Elle navigue hors du temps dans un monde fragile, celui des émotions, qui la rendent si fébrile qu’elle en devient troublante Dans l’obscure clarté du petit jour naissant, elle m’offre le langage des hommes amoureux !

 

Oh !Ma Douce, si tu savais combien je t’aime dans tes moments d’intimité et lorsque tu t’envoles vers tes instants de liberté. Tu m’emportes dans ta danse à la vitesse du vent, m’invites du bout des yeux à caresser ta chair offerte et le soyeux de ton âme qui me fait ses aveux.

 

 Depuis La porte entrebâillée s’exhale un mélange de parfum de femme et de divinité, le suave prégnant du désir qui s’invite et l’odeur interdite d’une muse vivante.

 

« Entre, murmure-t-elle, je te trouve si discret quand je suis au clavier ! La musique m’érotise, la musique me rend belle ! Envie de toi, Mon Cœur, de tes mains sur ma peau, de ton souffle au creux de mes seins, de tes mains sur mes hanches, ton bassin sur mes reins »

 

Pas un mot ne me vient, je suis sous dépendance et pourtant, elle est ma délivrance …

 

Sur un air de Satie, elle m’offre ses lèvres et le charme discret de sa peau frissonnante à l’approche de mes pas.

 

Ses doigts quittent le clavier, Satie s’en est allé. Elle retourne, gracile, sa silhouette docile. Le galbe de ses seins, son sourire divin et son éclat de rire accueillent mon regard.

 

« Tu as l’air d’un égaré ou pire d’un aliéné »

 

Elle ne croit pas si bien dire …Je suis fou, fou d’elle !

 

Elle entrouvre ses cuisses …Elle vient de me damner

 

© 2013 Mysterieuse

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LOVE ATTITUDE

 

 

 

 

   

 

 

Certaines images m’inspirent des rimes ou des nouvelles…voici une de mes inspirations …

 

 

  

 

 

 

 

 

 

Une attache bien singulière en solitude ordinaire

Sa liberté à conserver sous les attaques débonnaires

D’un séducteur interpellé par la fatale féminité

D’une silhouette en attitude érotisée !

 

Pas un sourire n’ébrèche le pulpeux  de ses lèvres

Pas une larme n’éreinte de son regard la fièvre,

Elle se veut sensuelle, cruellement attirante

Pour détourner les sens d’un male en attente.

 

Elle se sent prisonnière de ce désir de plaire

Le temps de la folie d’une amour passagère,

Est-il possible encore de fuir sa destinée

Peut-elle encore dire non à sa force sacrée ?

 

Sa proie se fait docile, son regard s’adoucit,

Tente une approche fébrile, séducteur attendri

De la froideur factice d’une âme en solitude,

Du charme camouflé derrière son attitude.

 

Perspective sensuelle que ce tableau vivant

Les pupilles s’interpellent dans un jeu envoutant,

Une porte jarretelle s’invite impunément

Dévoile  d’une cuisse un galbe déroutant.

 

Le sort en est jeté, les rôles inversés

La victime, soudain prédatrice se fait

Dévoile de ses charmes, ses armes aiguisées

Le reflet indomptable d’un homme captivé.

 

Les minutes frissonnent, la solitude s’étonne,

La rencontre s’invite et le désir résonne !

Amoureux solitaires d’une liberté factice

Par la chair invités, ils cèdent au supplice.

 

Deux bouches malmenées, deux désirs mélangés

Les caresses pour complices d’un cri en volupté

Ils découvrent la bulle, l’instant érotisé

D’une attirance charnelle digne de leur liberté.

 

 

© 2013 Mysterieuse

 

 

 

DESIR EN SOI

 

 

         

 

 

 

 

 

   

Dans le secret ambiant de sa féminité, elle aime à se parer, préparer tout son corps à accueillir l’amour.

L’amour c’est le 
regard que je pose sur elle.

Elle dit en souriant, c’est toi qui me rends belle

Elle me fait chavirer.

Le velours de sa peau appelle à des caresses, la braise de ses yeux dessine ses intentions.

Si peu sage sous le satin glissant de son peignoir complice, elle m’offre entre ses cuisses, la vision en délice de son écrin flouté d’une dentelle transparente.

L’empreinte de ses doigts sur ses bas de nylon crisse à mon oreille comme un murmure aimant !

Des reflets de désir s’échappent de chacun de ses gestes érotisant l’ambiance de son boudoir accueillant.

Elle occupe tout l’espace, le charge de parfum, de ses saveurs intimes qui roulent sous sa peau comme autant de désir.

Elle est là divine, si charnelle, sensuelle féline à me dévisager dans le reflet du miroir qui me renvoie ses yeux

L’espace se déchire d‘un seul de ses sourires, les couleurs fauves transpirent toute sa félinité.

Un sein aventurier bouscule le destin de ce corps séducteur de la paume de mes mains, dévoile sa rondeur et sa pointe arrogante comme une invitation de la délicieuse intrigante.

De ce charme troublant qui n’appartient qu’à elle, elle vient de bousculer mes plus pures intentions.

D’un accord reflétant de ses yeux envoutant, elle m’offre le code de sa sensualité, sa violente envie de baiser

 

 

© 2013 Mysterieuse

 

 

 

 

 

JE VOUDRAIS ...

 

 

 

 

Je voudrais te l’écrire, te décrire mes baisers

De ces baisers volés dont nous avons rêvé

Lorsque les lèvres scellées à la saveur de l’autre

Suggèrent en silence que le diable nous emporte.

 

Je voudrais te l’écrire, mes mystères t’avouer

Ces arcanes amoureux dont toi seul à la clé

Ces désirs arrimés sans ancre, ni autres liens

A l’essence érotique d’un amour bohémien.

 

 Je voudrais te chanter la noirceur sensuelle

Le sombre rituel de mes envies charnelles

Lorsque mon sexe affolé par ton regard masqué

S’accapare de mon âme pour la diaboliser.

 

Je voudrais murmurer en ange des ténèbres

 Cruelle, Chuchoter à tes pensées dans l’ombre

Le plus pernicieux de mes aveux lubriques

Juste pour savourer le lever de ta trique

 

Derrière le bandeur noir sur ton regard posé

Tu sentiras le feu de mes iris osés

Sur ta tige capturée à la fièvre de ma bouche,

La brulure assassine du plaisir qui te touche.

 

Mais puisque à l’aveugle nous aimons nous frôler

Je te raconterai, pourquoi j’aime te troubler

D’un seul baiser torride malhonnête et pervers

Avant de libérer ton regard incendiaire !

 

© 2012 Mystérieuse 

LA RANDONNEUSE

 

 

 

 

 

 

 

C’est un berceau, écrin de verdure, où chante un torrent

Un soleil de montagne brûlant de ses rayons

La couleur chamarrée des fleurs alpestres de juillet

 Et L’herbe verte pour couche.

Une jeune femme, lèvres entrouvertes et souffle apaisé

Baigne sa nuque dans ce havre de lumière

Son petit short entrouvert laisse deviner

Le charme frais de ses dentelles fleuries

Elle ne dort pas, elle frémit sous la caresse du vent,

Ses pensées sensuellement bousculées d’un souvenir présent.

Je lui vole l’instant

Mon iris vert saisit, clandestin, derrière l’objectif, la beauté naturelle de sa féminité.

 

© 2012 Mystérieuse

 

UN GRAND MERCI AU MODELE 

DÉRIVE DE MAI

 

 

 

 

 

 

 

Au croisement de nos jambes,

 

La découverte de nos peaux effleurent nos émois

Une douceur féminine,

 

Un désir mutin,

Nous affolent et nous animent vers un mystérieux proche destin

Le soleil pour complice d’une troublante attirance libertine ,

 

Dédicace le long de nos cuisses une fièvre tentatrice.

Par une première belle journée de mai,

J’ai jeté ma plume et l’encre bleu marine au fond de la piscine,

Préférant entrelacer les rimes de notre féminité

 

© 2012 Mysterieuse