Six ans après "L'invitation", Etienne Daho publie lundi "Les chansons de l'innocence retrouvée", Je suis fan de Daho depuis, je ne sais même pas depuis quand …Cela fait si longtemps à présent.
Alors quand on nous annonce à grand coup de promotions la sortie de son nouvel album, je cherche, à droite, à gauche, dans la presse spécialisée ou pas , sur le net articles et interview capables de m’en dévoiler la teneur artistique et intellectuelle
Les Inrockuptibles lui consacrent un hors-série « Etienne Daho, 30 ans de plaisir juste avant la sortie de l’album, je suis comblée
Dans ce hors-série, décryptages, portraits et entretiens avec un passionné qui ne cesse de faire chavirer le public et qui a bousculé le paysage
musical français.
Dans le dernier numéro de Elle Magazine , Etienne accorde un interview à Florence Trédez
Quand elle lui dit son ressenti sur l’ambiance « Dans votre album, il y a cette opposition, qui est votre marque, entre l’ombre et la lumière, il répond
Cette dualité existera toujours en moi .L’ivresse de plonger, l’extase de revenir, c’est très agréable… J’aime bien me faire peur »
C’est surement pour ces raisons aussi que j’aime Etienne Daho, au-delà du chanteur et parolier, l’homme et sa singulière personnalité.
Après avoir repoussé la date de sortie à cause d’une péritonite, L’album sera demain dans les bacs.
A en juger par les interviews accordées, l’album a un côté cinématographique très éloigné de « L’invitation », dans lequel l’artiste s’était beaucoup dévoilé.
Le disque est truffé de références à Camus, Bacon, William Blake, Giacometti
Un album littéraire et cinématographique, riche et touchant, qui "parle des autres, de ceux qui ont perdu", confie-t-il à l'AFP ou bien encore dans le magazine ELLE, « des gens traversés par un destin tragique fort »
Pour la pochette de son album, “Les Chansons de l’innocence retrouvée”, Etienne Daho pose accompagné d’une créature aux seins nus.
Cette photographie, Richard Dumas (qui, avant d’être photographe fut guitariste – c’est avec lui que Daho a réalisé ses premières maquettes en 1979) l’a prise à Ibiza il y a deux ans dans un hôtel “un peu perdu”. Dans la cour, cette jeune femme, “Salomé”, se pliait à l’exercice de la séance photo dévêtue pour un magazine. L’occasion de ce cliché pris rapidement, “pour le fun” et aussi vite oublié. Jusqu’à ce que les tirages ressortent pendant l’enregistrement du disque à Londres et que l’évidence vienne frapper Daho qui affirme aujourd’hui que “cette jeune femme symbolise à elle seule tous les personnages des chansons de l’album”.
Le thème du jardin d’Eden cher à Daho ?
Ne reste plus qu’à découvrir l’intégralité de cet album que les spécialistes annoncent déjà comme son meilleur …A vos oreilles ! A vos émotions .les miennes restent intactes quand je parle de lui. Il m’accompagne dans mes écrits, souvent, j’écris toujours la musique dans les oreilles, il m’accompagne dans mes évasions musicales. Merci Etienne pour ces errances en ta compagnie .Combien de fois ne suis-je allée à Rome en WE, combien de fois ne suis-je entrée au jardin d’Eden …combien ?
Mais qui peut mieux parler de Daho que lui-même …ce matin sur France Inter Etienne était l’invité de Rébecca Manzoni dans l’émission « Edectik »
Etienne Daho en tête à tête
Source d’information : France Inter, les Inrockuptibles, Elle Magazine
Les chansons de l'innocence retrouvée -
Mysterieuse
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