Exceptionnellement, cette année, elle avait accompagné son mari au Mondial de lAutomobile. Peu ou pas intéressée, par le monde automobile dans le quel évoluait son mari, elle avait accepté son invitation, une manière comme une autre de se rendre à Paris. Laissant sa chère moitié évoluer dans son monde professionnel, elle sétait promenée au milieu des véhicules de toute sorte, avec une prédilection pour les voitures de luxe.
Mais son attention se portait plus franchement, sur les hommes qui déambulaient au milieu des carrosseries.
Juliette avait remarqué un homme, la quarantaine resplendissante, argumentant ou dialoguant avec des partenaires. Il était fort séduisant, elle lavait suivi du regard, sans jamais croiser le sien.
Elle sétait éloignée, avait arpenté les allées, en proie à lennui, sauf que cet homme avait pris possession de son esprit.
Toujours en proie à des aventures fugaces, elle avait rebroussé chemin pour se rendre sur le stand sur lequel elle avait croisé sa nouvelle conquête.
Sinformant sur place, elle avait, toujours une idée derrière la tête, demandé quelques renseignements quant au mystérieux inconnu.
-Désolé, Madame, mais il nest sur le stand que pour une journée
Mentir cétait la solution !
-Mais pouvez vous me donner son nom, avait elle demandé à lhôtesse, il ma renseigné, jaimerais bien traité avec lui
-Un instant, je me renseigne
Lhôtesse sétait éloignée, avait réapparu un instant après, un papier à la main sur lesquels étaient notés des coordonnés. Pliant soigneusement le papier, elle lavait rangé dans son sac à main et avait poursuivi son chemin.
De retour dans sa région, quelques temps après elle avait retrouvé le post it, et pour la première fois, lavait lu...
Surprise par ladresse, elle avait esquissé un sourire !
Il travaillait dans une région toute proche.Laudace aidant elle venait de décider daller jusquau bout de ses envies.
Prétextant un déjeuner avec une amie, elle sétait absentée une journée pour rencontrer lhomme si séduisant sur lequel elle avait jeté son dévolu !
Elle sétait faite très séduisante, dévoilant ses longues jambes fines sous une robe de voile qui évoluait au rythme de ses pas. Elle avait omis volontairement toute lingerie, son côté coquin sûrement.
Se présentant à la concession elle avait demandé auprès de la réception, le nom inscrit sur le bout papier chiffonné !
-Désolé, il est en rendez- vous ! Mais si vous voulez attendre ou repasser, je lui fais part de votre présence
-Jattends !
Décrochant le standard, la jeune femme qui tenait laccueil avait prévenu lintéressé de la présence de Juliette.
-Monsieur, une certaine Madame... heu ! Pardon votre nom sil vous plait Madame ?
-Juliette, mon prénom est Juliette
-Monsieur, une certaine Juliette ! Bien Madame, il vous recevra après son rendez-vous.
Comme dans la salle des pas perdus, elle avait arpenté le hall dexposition, prenant son mal en patience.
Le rendez vous avait duré, mais peu importe, elle était résolue à lattendre.
Plus dune heure plus tard, il lavait accueilli fort gentiment lui tendant une main professionnelle et lui avait demandé de le suivre dans son bureau, non sans linviter à le précéder.
Un vrai gentleman avait songé Juliette !
-Asseyez-vous je vous en prie !
Juliette sétait assise très féminine, croisant ses jambes et les découvrant jusquà mi- cuisse.
Le regard de lhomme sétait égaré sur ces longues cuisses, Juliette avait croisé ses yeux un instant et lui avait prêté un regard complice qui lavait déstabilisé.
Prétextant lachat dun véhicule elle avait engagé la conversation.Il témoignait dun grand professionnalisme et répondait sans sourciller à chacune de ses questions.
Croisant et décroisant ses jambes elle faisait en sorte que sa robe portefeuille dévoile un peu plus chaque fois sa féminité...
Au hasard dune phrase, elle avait audacieusement lâché :
-Je vous sens troublé, me trouvez vous séduisante ?
-Ce serait mentir que de vous affirmer le contraire, mais la nest pas le sujet.
Lhomme était difficile à détourner, et cependant il avait perdu de son panache et de son assurance.
Juliette de son regard très vert avait recherché le sien avec beaucoup plus dinsistance, ce qui lavait rendu irrémédiablement plus mystérieuse et désirable.
-Avez-vous dautres rendez-vous ?
-Non pas pour linstant, mais...
Sans le laisser finir sa phrase, elle sétait levée, sétait dirigée vers la porte du bureau avait donné un tour de clef, et baissé les stores des parois vitrées.
-Voilà nous serons plus tranquilles
Lhomme était restée médusé par laudace de son interlocutrice, mais son attitude nétait pas pour lui déplaire !
-Alors dites moi ce mondial, comment lavez- vous trouvé ?
-Mais enfin qui êtes-vous, où voulez vous en venir ?
-Cela me parait évident pas vous ? Avait-elle murmuré en dévoilant à peine son sexe dénudé
-Vous nêtes pas là pour un véhicule !
-Vous êtes très perspicace
Le téléphone avait sonné, décrochant il avait répondu assez nerveusement.
-Je suis en rendez vous, je ne peux pas être dérangé.
Juliette le savait, elle lavait pris dans ses filets...
Nonchalamment, elle avait fait en sorte que la fine bretelle de sa robe séchappe, laissant apparaître la naissance de son sein.
-Vous etes.
-Je suis ?
-Désirable !
Accompagnant le geste à la parole, il sétait approché delle et avait caressé la base de son cou et laisse glisser ses doigts jusqu'à la pointe de ses seins.
Assise face à lui elle avait deviné un renflement sous son pantalon et avec une audace presque inexcusable avait laissé sa main effleurer le tissus de coton.
Un sourire avait illuminé son visage, un mélange de douceur et de lubricité avait teinté son regard.
Glissant une main sur ses cuisses, linconnu du « mondial »était remonté jusquà un sexe parfaitement épilé quil avait dévoilé entièrement en écartant les pans de la robe.
Cette femme le tentait, mais lenvironnement nétait pas propice à de tels désirs
-Voulez vous que nous sortions prendre un verre
-Non pas vraiment, je suis très bien ici !
-Mais...je suis marié
-Peu importe, je ne suis pas jalouse.
Cette réplique lavait fait sourire. Décidément cette femme était très audacieuse !
Emporté par linterdit de la situation, il avait glisse un doigt sur son clitoris découvrant un sexe trempé de cyprine ouvert à ses agissements
Cen était trop, il sétait accroupi, avait écarté les cuisses de Juliette, et savouré ses lèvres offertes et inondées, sous les gémissements de cette femme qui soffrait à lui.
Ce garçon avait vraiment un talent fou et savait fort bien se servir de ses lèvres et de sa langue.
Passant sa main dans ses cheveux, Juliette lavait invité à demeurer longtemps à la source de son plaisir.
Il lui avait donné du plaisir, beaucoup de plaisir, son sexe et tout son corps frémissaient sous ses audaces.
Il lavait sentie désireuse de le sentir en elle, elle était entièrement offerte.son regard en partance, sa bouche légèrement entrouverte en témoignaient
Dégrafant sa ceinture et le zip de son pantalon, baissant son caleçon, il avait exhibé un sexe très prétentieux
.Relevant Juliette du fauteuil, il lavait retourné, face au bureau et sans ménagement lavait pénétré lui arrachant un cri de plaisir.
-Baise moi, oui jaime ta queue !
La martelant, le pantalon ramassé sur ses chevilles, il avait accéléré ses assauts jusquà ce que...dans un cri rauque retenu, il jouisse au même tempo que Juliette.
Ils étaient restés ainsi lun dans lautre un instant, encore empreint de leur plaisir et essoufflés par leur fulgurante jouissance.
-Et maintenant, Madame ?
-Maintenant, je prends congé !
-Mais...
-Vous venez de faire avec moi ce que mon mari ne ma jamais accordé, et ...plutôt bien, et pour cela je vous en remercie.
Elle lui avait donné un léger baiser sur la joue en signe de remerciement et avait passé sa main sur sa nuque.
-Un numéro de téléphone au moins ?
-Pas la peine, je sais où vous trouver.votre prénom cest ?
-Yannick
-Enchanté Yannick, moi cest Juliette
-Oui je sais, cest ainsi que vous vous êtes présentée à moi et ma curiosité....
Elle avait souri soupçonnant une certaine complicité dans le mystère.
Avant de quitter la pièce elle lui avait donné une chaleureuse poignée de main.
-A bientôt Yannick, et merci pour votre professionnalisme.
-Je reste à votre service Juliette ! A bientôt !
-Joubliais ! Pensez à remonter les stores...
Elle sétait éloignée.
Elégance et féminité dans son sillage ponctué dun parfum enivrant traduisaient une assurance troublante et mystérieuse
Claquant la porte du bureau derrière elle, elle était partie rejoindre son mari qui lattendait assis derrière son bureau à
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