Il m'arrive parfois de recevoir dans ma boite mail,des textes expédiés par certains de mes lecteurs.J'affectionne particulièrement ces délicates attentions et lorsque l'un d'eux m'interpelle un peu plus,j'aime à l'éditer aux milieux de mes propres écrits...avec la permission de l'auteur cela va de soi!
Je vous laisse découvrir "A GENOU",c'est le titre que j'ai donné à cet instant érotique qui mérite une suite ...et qui n'avait pas d'intitulé
la Chose"A genou, le buste penché en avant ceint d'une guêpière, les bras allongés devant ta chevelure défaite au sol, les reins bien cambrés et les pieds habillés de hauts talons aiguilles et les yeux bandés de noir ... tu attends, tu me sais derrière toi, impatiente, ne sachant pas encore ce que je veux de toi, mais connaissant mon envie, la tienne se fait sentir entre le haut de tes cuisses fermées, chaudes et de plus en plus humides.
Passant devant toi je reprends fermement tes mains que j'avance d'un coup sec manifestant ainsi un peu plus mon emprise et prenant plaisir au gémissement provoqué. Je lie alors juste assez tes poignés d'un lien de soie puis, te contourne et laisse négligemment traîner sur ton dos et ta croupe ainsi offerte ce que tu devines être l'extrémité d'une badine - je te sens frissonner - et j'écarte un peu plus tes escarpins pour jouir du spectacle que tu m'accordes ainsi offerte, impudique mais tellement belle de sensualité comparable aux odalisques antiques .
Quel plus beau gage de tes sentiments pourrais-tu m'accorder ? Ou est le Maître ou est
Mais, en cet instant, mon esprit est tout entier accaparé par ce bouillonnement qui m'étreint, cette vision de toi, ces envies qui m'assaillent entre mon sexe bandé et mon esprit qui en demande toujours plus ; Cette contradiction entre la complicité qui nous unit dans nos jouissances et le phantasme d'utiliser ton corps aux portes de l’humiliation.
Ma main prolongée de mon arme de plaisirs et de souffrances s'avance : le cuir amené sur ta peau frôle celle-ci entre tes cuisses, tu frissonnes et te relâches, tu perds ta cambrure : inacceptable ! Le cuir cingle légèrement le haut de ta cuisse – mélange de successions de caresses et de morsures inattendues . Ton cri exagéré transcrit ta mise en condition... Le cuir reprend sa course entre tes cuisses pour se poser sur tes lèvres : tu gémis, tu recules ton corps pour venir à l'encontre de ce chibre improvisé, tu te fais chatte et ta cyprine témoigne de ton excitation exacerbée ... "
SAGAMORE
Si la plume vous en dit ,n'hésitez pas ....à vous laisser aller !
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