Le satin des heures enlace la peau,
Fugitif instant de fièvre volée,
Où l’ombre se mêle au clair joyau
D’un secret sculpté par l’étoffe voilée.
Sous les contours d’un rêve égaré,
Chaque ligne murmure une promesse,
Un monde caché, doucement effleuré,
Où l’intime s’habille de tendresse.
Et là, dans l’écrin de cet abandon,
L’éclat du mystère devient prison.
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