Incroyable mystère que le désir génère,
Au souffle de ta peau en ombres crépusculaires
Sur les lignes épures de mon corps divaguant
Sous ton regard épris de mes égarements.
Je ferme alors les yeux et me laisse porter
Capturant tes pensées sauvagement glissées
De ma nuque effleurée jusqu’au creux de mes reins
De mes hanches affolées jusqu’au galbe de mes seins
Ma bouche, autoritaire, t’arrête d’un baiser,
Coulisse, plus légère, sur la peau étoilée
De ton torse torturé par l’audace sensuelle
De mes lèvres gourmandes de tes saveurs charnelles !
Nos doigts entremêlés rapprochent nos désirs
Nos souffles mélangés ébauchent les soupirs
La confusion s’installe dans l’entrelacement
De nos corps affamés de ce renversement
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