Lorsque les larmes adviennent dans le diffus plaisir,
Secrète évanescence au-delà des soupirs,
J’abandonne mon corps à ses douces caresses,
Et mon cœur adouci à sa tendre maladresse.
Je sens vibrer en moi ses élans de tendresse,
Loin du brasier ardent de ma peau en détresse,
Sous ses ahanements et mes ardents soupirs
Ses empreintes arrimées sur mes hanches en désir !
La fièvre enchanteresse des amants affamés
S’évaporent lentement sur les chairs épuisées
De trop avoir aimer, de trop avoir vibrer,
Exsangue d’effusion et de lubricité.
Mais l’amour, ce mystère répare les corps usés,
Dissémine des baisers, les frissons étoilés
Les silhouettes s’imbriquent en corps à corps damné
Dans l’arène érotique pour un nouveau ballet !
© Mystérieuse 2018
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