Au parvis de la chapelle des damnés, j’ai déposé un baiser en prière sur tes lèvres, en hommage à la félicité de nos désirs d’hier.
Au parvis de la chapelle des oubliés, j’ai posé ma langue dans ton palais, en aveu sans respect, de la lubricité de mes envies d’après.
Profane, à l’autel de mes envies, je t’ai laissé me séduire de tes caresses apprivoisées, en témoignage de mes déviances pour tes sensuelles perversités.
Diabolique, aux marches du palais de l’érotisme censuré, je déambule dans l’indécence, la nudité pour pertinence …
Paris est à mes pieds et ton regard vissé dans la féminité de mon écrin nacré.
Le désir interpelle tes gestes, les teinte d’une acuité sensuelle invisible.
Mais le plaisir s’échappe de mon corps harmonisé au tempo de tes caresses !
Au pied du pyrée , je déverse de mon âme , la flamme de mes péchés, possédée de tes charmes de male satanisé par le feu de mon antre
© 2014 Mysterieuse
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