A l’heure où les caresses sont plus qu’une promesse,
Où les regards engendrent l’inévitable hardiesse,
La somptuosité de deux corps attirés
Par la même saveur de leur curiosité,
L’espace d’un instant, le temps suspend ses heures
Pour laisser dériver l’érotique bonheur.
Les lèvres s’interpellent dans un charnel ballet,
Se frôlent, puis se scellent sur un brûlant baiser.
Les mains, dans un silence lourd de clandestin,
Entrecroisent leurs chemins sur un commun dessein,
Dessiner le plaisir en frissons étoilés,
Sur les peaux parfumées de notes en volupté.
Lorsque les sexes s’enfièvrent, érigent leur ardeur
Déversent, langoureux, le suc de leur saveur,
Lorsque la chair triomphe sur l’âme ensorcelée
Alors les corps exultent de plaisir, accablés
Embrasant le décor de clameurs langoureuses
Paraphant de soupirs, la victoire amoureuse.
© 2014 Mysterieuse
Il est des promesses qu'on aime savoir pouvoir vivre encore
Rédigé par : psganarel | 27 avril 2014 à 18:45
A Psganarel ....Demeure l'espoir
Rédigé par : Mysterieuse | 29 avril 2014 à 22:20