AIGUILLES-BAS SANS DESSOUS

DERIVE...

 

 

 

 

Du compas de ses jambes , elle se joue de moi

Lorsque gémissent ses bas sous la fièvre de ses doigts,

De ses éffleurements , lorsque soupire la soie,

Façonnant  ses désirs pour cultiver ma foi.

De ses chevilles fines à son écrin d’ébène ,

Tout n’est que féminité , fuselage et mystère

De sa cambrure plantaire à son mont de Vénus ,

Un appel sans détour à ériger Phallus .

Consciente du désordre que me procure son jeu,

Elle y pose une touche sensuelle de ses yeux ,

Discrétion érotique pour un envol à deux

Vers les instants magiques du plaisir mystérieux.

Du revers de ses lèvres , délictueux aveu ,

Elle murmure en désir ses rêves aventureux

Ses envies ambitieuses de contagion charnelle ,

De sa peau à ma peau, vénéneuse immortelle.

L’envol est imminent pour un lointain voyage ,

Où les anges amoureux s’inventent des rivages

Ephémères mirages aux saveurs épicées,

Quand le corps et l’esprit atteignent des sommets .

 

© 2013 Mystérieuse

 

 

En ces périodes de fêtes , il est temps de vous offrir des cadeaux …

Le 19 décembre dernier Julien Doré donnait un concert privé …

Ce garçon a un réel talent …l’orchestration est particulièrement à mon goût , alors je tenais à partager ces moments priviligiés d’intimité musicale .

Un vrai talent d’auteur compositeur .

Løve, son dernier album, semble être celui de la maturité. Particulièrement cohérent, cet opus a pour fil rouge la séparation et l'éloignement, aussi bien physiques que psychologiques.

 Seule exception : "Platini", déclaration d'amour au fameux footballeur. Avouez que rendre sensuel Michel Platini n’était pas chose aisée.

 Sans fioriture, parfois mélancolique, parfois rageur mais toujours intime, Løve est sans doute la création la plus aboutie de Julien Doré.

Je vous laisse découvrir …Julien doré en concert privé

 

Désolée , impossible d'intégrer la vidéo...du concert, alors je vous en offre une autre avec toutes mes excuses

Une chanson que j'aime particulièrement !

 

 

 

   

 

 

 

"50 ANS DES ROLLING STONES"

 

 

 

 

Une expérience photographique et musicale vous tente –t’elle ?

Les Rolling Stones ont-ils accompagné votre adolescence, puis votre vie de jeune adultes , et puis plus tard encore  vous ont-ils crée des émotions comme ils le firent pour moi ?

 

 

 

 

La galerie Nikki Diana Marcquart accueille jusqu’au 12 janvier 2014 l’exposition « The Rolling Stones 50th, une expérience photographique et musicale

Après avoir été montrée à Londres et à New York, l'exposition de photos fêtant les 50 ans de carrière des Rolling Stones débarque à Paris. Composée de 76 clichés peu ou rarement montrés, cette exposition retrace leur parcours exceptionnel.

 

L'exposition invite à un voyage dans le temps, qui remonte jusqu'à leur premiers pas au tout début des années 60 (le premier concert des Rolling Stones a eu lieu le 12 juillet 1962, au Marquee Club de Londres, sur Oxford Street).

La plupart de ces clichés ont été pris par de grands photographes tels que Jean-Marie Périer, Michael Putlan ou bien Bob Gruen, des habitués des photographies musicales. Ils ont immortalisé des moments clés de l’incroyable carrière groupe du groupe

 

 

Cette machine visuelle à remonter le temps, supervisée par les managers des Stones, ne s'attarde pas sur les zones d'ombre et les excès de cette formation mythique. Le ton est résolument souriant et nostalgique.

 

L’exposition s’accompagne également d’une expérience audio inédite puisque le long de votre parcours, vous pourrez écouter en même temps dans la galerie des titres phares des Rolling Stones, en qualité haute définition Blu-Ray

 

Visitez l'exposition (à Londres en juillet 2012) en compagnie de Mick Jagger et Keith Richard :

 

      

 

 

Expo "50 ans des Rolling Stones"
Du 13 décembre au 12 janvier 2014

 

Galerie Nikki Diana Marquardt

9  Place des Vosges, 75004 Paris ‎

Tel : 01 42 78 21 00 ‎ 

 

Entrée libre du mardi au dimanche de 11h à 19h

 

(Fermeture exceptionnelle le 25 décembre 2013 et le 1er janvier 2014)

 

 

SAUVAGE

 

 

                

 

 

 

 

 

 

Entamer une course, rêver qu’il me détrousse,

Et dans un  train d’enfer, le sentir à mes trousses

L’Envisager Amant avant que de gouter,

A son tempérament gourmand de volupté.

 

Lui offrir de mes charmes les troublants apanages

Dans la transparence du voile de mon corsage,

Mes petits seins  peu sages frissonnant de désir,

Exprimant sans langage des soupirs à venir.

 

Comme une envie d’outrage quand ses mains m’imaginent,

Quand son regard d’ébène mes courbes prédomine,

Sous influence obscène de mes envies osées

Affleurant sur ma peau en sensuelles ondées.

 

Aucune résistance n’est à envisager

Je ne désire de lui que de lui succomber,

M’abandonner sans gêne à la férocité,

D’un félin capturé par la proie qu’il chassait.

 

© 2013 Mysterieuse

 

 

 

 

MON DANSEUR DES ETOILES

 

 

Il a le cul d’un danseur étoile, version quatre étoiles de luxe. Je tends à espérer qu’il m’apprenne les pointes et les entrechats, qu’il guide mes arabesques.

La chevelure épaisse, le regard assombri par la pénombre théâtrale des scènes  des opéras, il en appelle à mes gènes de femme pervertie à son allure sculpturale et fragile  à la fois .Une grâce virile qui n’appartient qu’à lui, mon danseur des étoiles. Je suis sa ballerine, funambule amoureuse qui le tient par un fil, une grâce éphémère de l’amour sans vertu, de l’amour à tue-tête, mais  de très vif esprit, qui fait de notre planète un endroit inédit et interdit au commun des mortels.

 

 

Il me dit ensorceleuse, talentueuse sorcière, danseuse acrobatique dans nos nuits d’insomnie, quand mon corps est plus souple qu’une liane exotique. Sur un kyrie de Mozart, je lui offre ma silhouette , chair et âme confondues dans un ballet diabolique  , sur le parvis de ses désirs , puis dans les entrailles d’un enfer charnel et passionnel dont il est chorégraphe, acteur et jouisseur .

C’est l’instant fatidique des secrets préservés, des instants de plaisirs à nul autres égalés …

Pasolini a dit un jour quelque chose comme cela «  Il est certaines nuits dont il est impensable de ne pas faire l’Amour » Et bien mes nuits avec lui sont ici, théâtrales de vie et de désir, de mort et de résurrection …de plaisir et d’abandon …

Notre Amour est un ballet intemporel et sensoriel !

 

© 2013 Mysterieuse

 

 

 Pour illustrer mes écrits je vous laisse découvrir , ou redecouvrir une petite merveille , La grande messe de Mozart interprété par Le Leipzig Ballet sur une chorégraphie de UWE SCHOLZ.,De 1991 jusqu'à sa mort, en 2004, il fut chef chorégraphe de l' Opera de Leipzig. Uwe Scholz a créé des ballets de réputation internationale...

Vous pouvez découvrir l'intégralité du ballet ICI

 

   

CREPUSCULE

 

                        

 

 

 

 

Aux instants les plus sombres des heures crépusculaires, lorsque le duel du jour et de la nuit  apporte ses zones d’ombre, je t’attends.

C’est le moment de la journée où le désir s’installe, lancinant, conquérant, s’accrochant à ma peau comme un effleurement, puis une égratignure.
Il me semble dans ces éphémères laps de temps propices à l’imaginaire qu’une part de ton âme veille sur mes envies. Quand l’horizon lointain ne m’offre plus de ce monde que l’esquisse imparfaite et sombre des collines environnantes, je te ressens. Je devine ton approche, si ce n’est purement physique, mais toujours sensuelle.

C’est l’heure des bougies parfumées  et du ronronnement du feu dans l’âtre qui réchauffe les cœurs et les esprits abimés de trop de solitude.

Mon corps alors s’anime de fièvre et de désir, retrouve de sa superbe odorante et osée. J’aime à déceler dans ces instants privilégiés, l’arrogance érotique de ton regard ciblé sur un sein audacieux pointant sous le soyeux d’un pull en cachemire, t’invitant à rejoindre mon envie de baiser.

Point besoin de dentelles pour arrimer à moi ton manque de vertu.

La lumière diurne abdique au profit de l’ombre, me plonge dans le décor des ténèbres grandissant au fur et à mesure de mes envies de nous, au fur et à mesure que le désir m’inonde des saveurs de nos nuits éperdues.

Tu m’as promis de me rejoindre ce soir, à la tombée du jour, promis de semer désordre à profusion, de tourmenter mon âme de pensées malhonnêtes, de celles dont on regrette de ne pas abuser.

Proche de la fenêtre, ma silhouette diffuse, frissons et fragrances mêlés, les effets sensoriels de mon empressement ‘enfin te retrouver.

Le parquet craque, le feu claque…Tu viens d’entrer. Mon pull vient de choir sur le bois ciré, t’offrant l’entière nudité de mon envie d’aimer…

Une morsure dans le cou, un souffle sur ma nuque…Promesse honorée…Je suis déjà trempée !

Tu inventes des rêves pour moi, me procure cette ivresse  d’air pur, de bonheur et de plaisir …

Je me retourne, tu n’es pas là. Ce ne sont que tes folles promesses qui m’effleurent et me tuent un peu plus chaque jour.

Le désir est là, ancré entre mes cuisses, à portée de mes doigts, mais si éloigné des tiens.

Ce crépuscule n’était qu’une trêve dans ce manque de toi, une faille ensorceleuse, une apnée érotique !

Ressens-tu ces frissons dans le creux de mes reins qui m’éveillent et m’animent de désirs assassins ?

 

 

 

 

 

 

 

Le jour fait déjà son deuil, une lune rousse éclabousse mes rêves d’un tout autre destin que poursuivre ma nuit au creux de ton épaule.

Il est temps d’allumer une veilleuse et de vivre mes fantasmes sous le reflet solitaire de mon esprit épris d’un Ange fantomatique

 

 

 

 

© 2013 Mysterieuse

SOUPIRS INTENSES

 

               

 

 

 

 

 

 

Il n’est pas un mirage mais un troublant présage,

Que cet amour fusion violent comme un orage,

Annonceur de tempêtes érotiques peu sages,

Pour nos âmes en alertes fatiguées des naufrages.

 

 
 

Nos étreintes me hantent, Tout de nous me manque,

Mes hanches dans ses mains, son regard saltimbanque,

Et ce désir hurlant lapidant ma décence,

Dans mes nuits orphelines de sa virile présence.

 

 

 

A trop vivre dans l’intense de nos baisers volés,

A trop nous désirer, malgré nos actes manqués,

Est né une dépendance de nos corps déchirés,

Par la trop longue distance des amants séparés.

 
 

 

Sur mes lèvres, la fièvre, dans ses yeux, la détresse,

Entre mes mots teintés de rage et de tendresse,

L’onde amère en écho de mes manques de repères,

Quand le manque de sa peau à ma peau me lacère.

 

 

Des ondes de jouissances m’étreignent sans préavis,

A la seule pensée des brulures de nos nuits,

Quand nos corps éreintés de trop avoir aimé,

Livrent toujours bataille, pour ne pas succomber.

 

 

Nos bassins imbriqués au souffle de nos désirs,

Nos fluides mélangés dans les mêmes soupirs,

De l’impudeur charnelle jusque dans nos silences,

Seront les seuls tourments de notre prochaine errance.

 

 

© 2013 Mysterieuse

 

 

IMAGES ...

 

 

 

Pour un jour j'abandonne ma plume au profit de mon objectif.

 

L'érostisme c'est suggérer  par les mots , par l'image.

 

C'est aussi la pudeur dans l'impudeur!

 

L'intime est précieux , parce qu'unique dans chacune de ces photos .

 

J'ai pris plaisir à les réaliser , j'espère que vous prendrez le même à les regarder ! 

 

 

Je cherche des modèles à photographier 

 

UN AMOUR INÉDIT

 

 

 

 

 

 

 

 

De mon encre sensuelle colorée à tes yeux,

J’alimente les carnets de mes tendres aveux,

Interlignes tactiles, points virgule audacieux,

Avec en ligne de mire ton sourire radieux.

 

Le mystère réside dans ma prose rimée,

Distille mes désirs au cœur de mon plumier,

Anticipe de mes gestes les caresses osées,

Que réclame ta peau à la mienne arrimée.

 

Mon écriture de NOUS met en scène mes troubles,

Quand le manque de toi, de mon âme, le double

Me lacère les chairs, y inocule son venin,

En doses sensuelles jusqu’au creux de mes reins.

 

Si diaphane soit-elle, l’image de nos étreintes,

Reflet imaginaire de nos corps sous empreinte,

Cristallise nos émois sous mes calligraphies,

Transcrit l’irréversible d’un Amour inédit

 

© 2013 Mysterieuse

 

 

 

VERTIGE ( LA SUITE DE LA SUITE ...)

 

 

         

 

 

 

 

Elle porte en elle, le mystère de l’élégance, comme un piège. Elle est femme araignée, elle tisse sa toile pour mieux vous dévorer. Et pourtant, elle a aussi cette sincérité des gens qui disent ce qu’ils font et qui font ce qu’ils disent .Oui c’est ça, elle vous piège avec élégance et sincérité .Elle vous laisse le choix, elle n’est pas assassine .Les obligations, les impératifs ou bien encore les programmations, il est fort à parier qu’elle n’aime pas cela .Mais que venait-elle faire dans ce bar de quartier, si ce n’est prendre un café ? Le serveur la connait, c’est une habituée. Je suis une inconnue qui m’invite à baiser avec une facilité déconcertante, pense-t-il, coupable de succomber. Elle n’est pas le rendez-vous que j’attendais en cette matinée. Tant pis pour l’appart, il attendra. Il est des rencontres incontournables. Mais son histoire est-elle vraie, ou bien est-ce une tournure de son imagination, un fantasme à concrétiser ? Le fait est que d’en avoir parlé, de s’être remémoré la scène et la situation, l’a pour le moins émoustillée. Je suis prêt à parier que ses dentelles sont mouillées.  Dentelles ou pas ? Je préférerais ! J’aime cet instant magique où l’on prend le temps de faire glisser le long des cuisses d’une femme, ces quelques grammes de tissu parfumés de désir et d’intime.

 L’espace de quelques pas, dans le sillage de cette femme, le transporte littéralement dans un autre univers, oui seulement quelques pas, le temps de traverser la rue, pour changer de trottoir, et s’engouffrer dans un dédalle de ruelles. La rue vibre d’une humanité mélangée, un brassage ethnique coloré .En un  instant, le voilà plongé brutalement dans le chaos urbain de la ville cosmopolite qu’est Marseille .Il suit Camille  qui semble connaitre le quartier comme le fond de sa poche .Mais où l’entraine-t-elle au travers de ces rues dont l’odeur dominante est faite de viande de boucherie et de pain frais, de fruits murs et de légumes écrasés, de brochettes grillées aux épices et de poissons frais. C’est aussi pour cela qu’il aime la cité phocéenne, et pour cela qu’il a décidé de s’y installer définitivement. Sa recherche infructueuse d’appartement aura au moins guidé ses pas jusqu’à Camille.  Elle resplendit d’autant plus de son aura au milieu de cette ambiance chamarrée aux saveurs épicées. Malgré le  fort tempérament dont elle a fait montre dans l’anonymat du café, elle ne lui inspire que douceur et volupté. Il les imagine dans la luminosité d’un appartement côtier, sur un balcon, face à une baie, dans les effluves d’une nuit d’amour non encore évaporées. Il savoure déjà avec le même imaginaire débordant dont elle a pu lui témoigner les conséquences, sa peau  acidulée, le nacrée de sa salive, sa sueur sucrée dans des draps froissés en silence.

Elle se retourne, s’inquiète de savoir s’il la suit toujours. Mais elle
a perdu de cette excitation qui a sublimé l’instant de la rencontre. Elle le ressent soudain, une grande tristesse l‘envahit. Ses yeux se noient dans les eaux grises de la nostalgie, le chagrin peut à tout moment la surprendre. Elle n’est pas guérie, elle enrage, après lui, son mentor, son bourreau, son maître à aimer et désirer. Elle lutte, tente d’échapper à la noirceur de ses silences avant de replonger avec la même détermination dans ses folles extravagances.

« Où êtes-vous garé, lance- t-elle, en déverrouillant le coffre d’un scooter

-Je suis venu en métro !

-Parfait ! Enfilez cela ! »

Elle lui tend un casque !

« Marseille est un vrai bordel pour circuler …Je vous emmène en balade »

Relevant au plus haut, sa tenue féminine, elle enfourche le deux-roues, cavalière audacieuse et emporte avec elle le chevalier moderne qui ne sait plus quoi penser.

Il sait déjà qu’elle est femme à aimer, que chaque étreinte le rendra fou, qu’Il ne la possédera jamais entièrement, qu’il en souffrira de frustration et le rendra plus amoureux. Elle est de ces femmes en guerre de conquête sans fin qui désarmerait même les plus intrépides

Sous le feu de ses paumes qui étreignent sa taille, il ressent cette fièvre du désir féminin qui distille insidieux la piqure du venin.

Il bande sans répit, il bande à en crier. Elle le sait, elle sent et le lui dit

« Moi aussi, j’ai une folle envie de toi »

 

A suivre …

PETIT MATIN

 

                      

 

 

 

Ella a ce pouvoir fou, à nul autre pareil,

De troubler, d’émouvoir jusque dans son sommeil,

Quand son corps alangui dévoile ses merveilles,

De sa géométrie, les rondeurs sensuelles.

 

Elle a ce talent fou, à nul autre pareil,

De ranimer les braises d’une nuit sans sommeil,

Son voile parfumé, aux portes de son écrin,

Du faite de son compas jusqu’au creux de ses reins.

 

Entrelacs sensuels que ses jambes dénudées,

En recherche équivoque de ma peau enfiévrée,

Par la grâce qui la touche aux premières lueurs

Quand ses yeux m’éclaboussent de son regard charmeur.

 

La douceur de sa peau revendique mes caresses,

Réclame dans l’inconscience morsure et tendresse

Laisse émaner désir et frissons harmonieux

Coupables d’ériger mon viril orgueilleux.

 

Le réveil de son corps éclaire mes aurores

D’une lueur sensuelle dans des soupirs d’encore,

Quand mes rêves de la nuit  en lointains souvenirs

Ressemblent à s’y méprendre à son troublant plaisir.

 

© 2013 Mysterieuse