Sur Ces rondeurs dont elle m’accable,
De leurs douceurs, de leur ardeur,
Je pose mes lèvres gourmandes de vie,
Et leurs mystères pour l’alanguir.
Si différente, si éloignée de mon passé,
J’aime à songer qu’elle puisse combler mon avenir,
Qu’elle puisse luire sur mes ténèbres,
En préservant sa liberté.
Quand l’impatience de mes désirs
Se fait messie de mes désordres,
Je pense à elle,
De son sourire à ses soupirs,
Je pense à elle,
De la texture de sa peau à la douceur de ses caresses,
Quand ses baisers se font prouesses
Et ses envies délicatesse.
Elle devient chatte dans ces instants
Regard troublant,
De l’impudeur dans ses verts gemmes,
Et Sur ses lèvres, le gout du sang,
Brulante fièvre sensuelle,
Celle qui coule dans ses veines
© 2013 Mysterieuse
B. Comme Beau.
M. Comme Merci.
Rédigé par : Ludie | 14 novembre 2013 à 06:50