Il est indescriptible le désir qui m’accable
Lorsqu’à mon égard il fait vœu de silence
Pour une heure, un jour, un mois indomptables
Et que le manque s’inscrit sous forme de dépendance
D’Intolérance au vide que son manque génère
En Thérapie inutile à toutes ses inconstances
J’ai appris à l’aimer au-delà du mystère
Qu’il m’inflige, amoureux de son indépendance.
Ses secrets sont ailleurs dans l’art qu’il a d’aimer
De prodiguer sur moi, par don d’ubiquité,
Des désirs imprécis sur ma peau satinée
Au feu de ses pensées lubriques et raffinées.
Ressent-il, mes envies, empreignant, qui se glissent
S’immiscent à l’improviste à son seul souvenir
Sur mes seins généreux à combler tous ses vices
Ma croupe investie de caresses en soupir
Sous mon pubis soyeux, ma fente joue l’indécente
Harmonise ses ourlets de fines larmes nacrées
Libère de sa conque ma fleur luminescente
Pour en offrir le suc à mes dentelles froissées.
Mes soupirs en délice étreignent-elles son âme
Lorsque telle une dague le plaisir me transperce
Tel demeure le mystère qui instruit mes fantasmes
Quand l’orgasme hurlant soudain me bouleverse
© 2012 Mystérieuse
Vouloir entendre le cliquetis libérateur,
Pour offrir à des yeux l'once de cette chaleur ...
Rédigé par : LCN | 10 janvier 2013 à 13:56
A LCN: tous ses sens en émoi , elle devient sa proie
Rédigé par : mysterieuse | 10 janvier 2013 à 20:48