Accrochée à tes reins plutôt qu’à ton regard
Je jouis du destin que profile ton bassin
En ce balancement entre mes cuisses ouvertes
L’esquisse jouissive d’un plaisir à induire
Ta raideur qui se glisse, coulisse en maléfice
Tes mains agrippées au feu de ma cambrure
La fente de tes yeux à ma croupe vissée
Ce cul, tout en courbe et féminité
Qui te nargue et rassure ta queue de sa virilité
Voilà, ce sont les images qui défilent à mes yeux
Lorsque je pense à toi, lorsque je te respire
Lorsque je te transpire en perles de cyprine
Le désir jugulé pour ne pas t’effrayer
De la voracité de mon envie de toi
Cours
Amour, Mon si cher Amour
Si je t’attrape,
Tu ne survivras pas à mes morsures amoureuses
Sur ta tige, tes fesses, ton ventre
Il sera long le temps de ton agonie,
Je le récolterais, le cultiverais,
Jusqu’à l’instant suprême de ta petite mort
Mon corps encore secoué de notre mélange orgasmique
© 2012 Mysterieuse
Miroir, miroir: "Qui est la plus belle?"
-C'est toujours Mystérieuse.
Dom, de Mystérieuse.
En récits, en poésie, en photographie. Nulle autre ne l' égale en beauté ni en talent.
Rédigé par : Ludie | 27 août 2012 à 22:07
bonjour,
Je vous informe que ce poème, ainsi que "ça commence par la fin" sont reproduits ici :
http://www.poemes-amour.com/Art/poesie/
L'administrateur de ce site ayant reproduit plusieurs de mes poèmes sans mon autorisation, peut-être qu'il en est de même avec vos œuvres.
Amicales salutations
Rédigé par : Yannig Watel | 06 avril 2013 à 14:21