Ses mains coulent sur mes hanches, fébriles messagères,
D’intentions sensuelles osées et passagères.
Son regard revendique, au feu de mes paupières,
Mes désirs sybarites enrobés de mystère.
Son approche féline enfièvre mes artères,
Je sens le feu en moi, brulure délétère
Assouvir ses désirs de me voir soudoyer
Par ses charmes authentiques, d’érotisme teintés
Il est homme audacieux, aime en moi l’insoumise
Cette femme charnelle aux attentes abusives
Qu'’il révéla en moi, amoureux chimérique,
De mes désirs latents aux fragrances lubriques.
De folie sensuelle il aime m’enrober
A sa chair capiteuse me faire succomber
M’abreuver de ses lèvres humides et endiablées
Me nourrir de sa fièvre d’amant invétéré.
Lorsque de ses ardeurs il investit mon corps
Quand plaisir et passion jouent sur les mêmes accords
Il m’offre le meilleur de sa virilité
Se déverse dans mon puits dans la complicité.
Je lui crie mon plaisir, gémis ma jouissance
De le sentir en moi assouvir sa puissance
Dieu que j’aime mon amant dans ces moments intimes
Où son corps frémissant tout son talent exprime
© 2011 Mysterieuse
Crie douce créature sybarite !
Il n'y pas d'ivresse sensuelle sans amour.
Rédigé par : Julien | 22 juin 2011 à 20:01
Même en Mandarin, Tagalog ou Indi, c'est joli aussi, j'aurais ce plaisir pervers et excitant de te lire!
Ton langage, c'est comme des paroles que tu dispenses la bouche encore plein de la cyprine,
pas forcément plus audible , mais l'intention est si nette, oh oui!
Mange-moi et parle la bouche pleine!
Rédigé par : Ludie | 22 juin 2011 à 22:44
A Julien :et à l'inverse , Julien , il n'y pas d'amour sans ivresse sensuelle!
A Ludie:pas très glamour, si ce n'est la lecture , mais pour autant très explicite quand à l'effet produit par mes écrits!
Rédigé par : Mystérieuse | 23 juin 2011 à 09:11
Iris vert...
J'n'avais encore rien dit...
Seulement croisé ses yeux...
Souri aussi un peu...
Les yeux clos à demi...
Sans pour autant qu'ils plissent...
J'avais posé mon coeur
Sur le bout de ma langue...
Mais sortant de sa gangue,
Autant blanc de chaleur,
Bien peu qu'il m'étourdisse...
Alors je l'ai remis,
Là, dessous ma chemise
Laissant un peu de brise
Souffler entre les plis,
Afin qu'il refroidisse...
Avec sa permission,
J'ai dirigé sa main,
Pour qu'à travers le lin,
Elle sente sa vibration
Que celle-ci la saisisse...
"Ce cœur vit grâce à toi.
Il fallait que tu sentes,
Qu'il pleuve, neige ou bien vente,
Qu'il ne bat pas sans toi"
S'en fallut qu'elle rougisse...
Son sourire se figea...
S'assombrit l'iris vert,
Et une larme claire,
Dessus sa joue, roula...
Et tomba sur sa cuisse.
Mon pouce... sans insistance,
De cette perle de pluie,
Que mon regard suivit,
Interrompit la danse...
Sur mes lèvres la glisse!
Bel iris vert…
Tu es divin !
Silas...
Rédigé par : Silas, Chien d'Utopie | 27 juin 2011 à 14:09
A Silas : tu es troublant Silas ...Tu as réussi à embuer le Bel iris vert! Tu es divin!
Rédigé par : Mystérieuse | 27 juin 2011 à 18:33