Cessez donc cher Amour d’occulter mes discours
Ces envies qui m’habitent à l’aube d’un nouveau jour
Quand ma chatte réclame votre raideur virile
Qu'’elle implore votre queue de ma moiteur servile.
Cessez donc cher Amour d’éclipser mes attraits
De vous perdre en détours qu'’avant de me baiser
Quand de vous je revendique une langue lubrique
De mes baisers pervers une longue réplique …
Cessez donc cher Amour, d’ainsi me torturer
Vos supplices érotiques ont l’art de m’exciter
J’aime la résistance que m’impose votre trique
Lorsque ma bouche mutine de ses lèvres l’astique.
C’est ainsi cher Amour que je t’aurais écrit
A l’époque révolue du siècle des interdits
Nos liaisons dangereuses nous auraient pervertis
Nous offrant le pardon en péchés consentis.
C’est ainsi cher Amour que tu m’aurais baisée,
Ton visage perdu au creux de mes dentelles
Ton regard éperdu entre mes cuisses charnelles
Et ta queue imbibée du feu de mes baisers …
Remontons donc le temps, baise-moi XVIII ème
Dans le jeu des miroirs, la courtisane, aime
Retrousse ses jupons, baise son corps corseté
Plonge donc ton démon dans ma chatte affamée.
© 2011 Mysterieuse
Miroirs,
Dorures,
Parquets cirés,
Boudoirs
Et baldaquins,
Plongeons sur des décolletés pigeonnants,
Délassons les corsets,
Troussons les jupons,
Oh oui, quelle délicieuse vision!
Rédigé par : psganarel | 14 avril 2011 à 23:22
A Psganarel:que diable ,fichtre , parbleu, remontons le temps ....N'oubliez pas les mouches , c'est tellement troublant!
Rédigé par : Mystérieuse | 16 avril 2011 à 16:12