PARTIE 5
En grande amatrice de nouveautés, Sophia encore plus curieuse que la majorité des femmes, aurait du selon sa tradition, glisser un pas, puis le bout de son nez dans l’appartement pour critiquer ou s’extasier de la décoration. Mais elle allait se surprendre elle-même. La porte à peine fermée, plongée dans la pénombre d’un appartement à la nuit tombée, elle se retournait vers Paolo, dont la silhouette dans la semi obscurité paraissait encore plus imposante, et tentait dans l’urgence de lui ôter son pull. La différence de taille s’était avérée être un handicap plus qu’elle n’y aurait songé. L’idée d’envoyer balader ses escarpins lui était apparue comme une idée des plus saugrenues .Un instant, un bref instant, elle avait pensé au ridicule de la situation, et avait mal étouffé un rire dans sa gorge …
« Que pasa ?
-Tu es si grand, je ne peux … »
Aucune réponse n’avait éternisé le moment, de sa grande paluche, Paolo avait retiré le pull de Sophia, l’avait jeté à l’aveuglette, en avait fait autant avec sa jupe …
« A toi maintenant !
-Pas question !
-Comment çà ? »
Il avait actionné l’interrupteur plongeant soudain Sophia dans le désarroi. Il avait aimé son regard affolé, lorsque tout autour d’elle une rangée de projecteurs de théâtre l’avait inondée de lumière à l’instar d’une star ou …d’une accusée.
Paolo la toisait avec effronterie et tourment .C’est du moins ce qu’elle pouvait ressentir dans le regard de ce colosse qui jouait soudain les voyeurs.
« Tu es belle, presque nue, bouge, bouge, j’adore ta manière de bouger
-Mais Paolo, où sommes –nous ?
-Chez une copine, je te l’ai dit »
Clic clac, clic clac, les cliquètements spécifiques d’un « shootage » en règle incendiaient soudain la pudeur inhabituelle de Sophia.
« Que fais-tu Paolo ?
-Tu le vois, je te prends en photo, tourne toi ma belle, montre moi ton cul ! Oui cambre toi, encore plus, tu as un cul de jeune fille »
Prise par le jeu de séduction des prises de vues que Paolo imposait de main de maitre à Sophia, elle se prêtait sans vergogne à toutes les positions qu’il lui suggérait avec douceur, mais détermination. Elle en avait oublié son âge ; les quelques rondeurs gênantes qu’elle ne tentait même plus de dissimuler .Un moment, elle aurait même pu oublier la véritable raison qui les avait accompagnés jusqu’ici, ainsi malmenée par un objectif lubrique et une musique digne des meilleures soirées d’Ibiza.
Fallait-il qu’il soit perspicace, pour avoir décelé en elle, une femme follement amoureuse de l’expression corporelle, une femme qui ne savait résister bien longtemps à un rythme endiablé, et qui, quitte à passer pour une dévergondée laissait libre cours à son corps enfiévré de tempo.
Comment avait-il deviné qu’elle aimerait devenir un court moment, la star improvisée d’un amant pas encore amant mais largement convoité par ses déhanchements provocants, presque prohibés par la loi tant d’impudeurs ils étaient modelés.
Aiguilles- bas sans dessous, elle dansait dans toute la splendeur de sa maturité sous le regard charmé d’un latin mystérieux qui ne lui avait pas tout dit de sa personnalité .En véritable pro , il éternisait chacune des pauses lascives que Sophia lui prêtait , enfin le croyait-elle , en jouant de ses reins .La vérité était ailleurs , son œil était au fond de celui de Sophia. C’est bien ce regard qui l’électrisait, ce regard impudique et mystérieux qu’elle lui lançait, en totale inconscience de ses méfaits. Cette louve assoiffée de plaisir, adepte de fusion érotique, capable de cambrure à s’en fendre les reins, jouait dans la démesure, de sa nudité volée mais dévoilée en séduction. Mais seul son regard en disait bien plus long que sa croupe incendiaire jouant les prolongations d’une exhibition. Il aurait aimé lui dire, tu es une véritable salope, tu me fais bander como un toro, mais il s’était abstenu préférant condenser son plaisir jusqu’au bout de sa queue, pour mieux la baiser ensuite.
Elle le savait, il le lisait dans ses yeux, elle lui criait dans le plus grand silence. N’y tenant plus, il avait fini par abandonner son Nikon, pour se déshabiller, en commençant par le pull. La suite restait à faire dans la séduction il ne doutait point de ses talents de prédatrices et c’est dans l’abandon qu’il se laissait guider jusqu’au grand lit carré qui trônait dans la pièce. Généreuse de caresses sur son torse dénudé, Sophia prodiguait en gourmande patentée des morsures amoureuses sur sa peau dorée, jusqu’à sa taille .La ceinture inutile ne résistait pas longtemps à ses doigts agiles, pas plus que le zip du pantalon et le pantalon lui-même…L’obélisque jaillit !
« Tu le sais à présent que je vais te baiser, lui avait-elle murmuré au creux de l’oreille, en le chevauchant, véritable amazone des temps modernes. Tu m’as trop fait languir, caliente »
Putain, les latines , il n’y a que ça de vrai , avait-il songé en sentant les cuisses de Sophia enserrer son bassin , et son cul rebond brûler ses "cojones" d’une fièvre peu ordinaire…Et ce regard , Putain, ce regard , le diable fait femme…
A suivre …
Et toujours ses photos merveilleuses mettant en valeur les beauté charnelle de la femme et qui donne sans envie irrésistible de la vénérer au travers des caresses et baisers.
Nous seulement vos missives sont de redoutables tentations sensuelles mais les photos, au travers les poses proposées, font naitre de véritables attirances sexuelles.
Sophia nous revient : mais qui est-elle réellement et que représente-t-elle ? Mystère bien sûr, je connais la réponse. Curieuse certes, dans la définition la plus noble et sensuelle du terme car son désir est de profiter de moments provoqués. Mais sa surprise fut entière et je comprends son désarroi, comme le mien car je ne m’attendais pas à pareil scénario. Nue et seulement chaussée de ses escarpins, elle était belle sous les lumières des projecteurs qui modelaient son corps splendide et affectait sa pudeur qu’elle avait cependant démontrée peu réservée dans les épisodes précédents.
Le jeu de se dévoiler à la vue de son amant comme celui de la faire devant un appareil photo excite car je sais la femme sensible au regard que l’on pose sur son corps que je rappelle une nouvelle fois merveilleux. Sensuelle, elle se prête alors au jeu pour charmer et ainsi embellir son corps, si audacieusement féminin, de mouvements doux et provocants. De là, je vois ses fesses rebondies, perchées au dessus de jambes interminables que les talons des escarpins rendent affolantes. Mais point de rodeurs gênantes malgré son âge, juste de délicieuses formes toujours équilibrées et charnelles faisant de ce corps proposé un écrin de douceurs que le respect interdit de toucher … pour l’instant.
Pour reprendre votre phrase de la femme follement amoureuse de l’expression corporelle, il n’est pas interdit de penser qu’elle est alors plus sensuelle et élégante que vulgaire et catin. J’adore la femme féminine et lorsqu’ainsi elle joue de son corps en mettant en valeurs ses monts merveilleux et vallées secrètes, je ne suis pas loin de la voir comme une œuvre d’art dont la beauté inspire le respect. La femme entreprenante est alors une égérie stupéfiante qui fascine et la seule idée d’avoir à la servir, même au travers de la crainte de mal le faire, excite au point de donner la fièvre pour mieux la transmettre. L’impudeur ainsi exposée de la superbe Sophia fait naitre une richesse de sensations libertines et ma gorge se sert à l’idée d’avoir à honorer de mes pensées sensuelles, de mon regard caressant, de mes mains audacieuses cette splendide nymphe source de épicurienne intarissable de désirs.
Vous avez réussi : j’ai envie de découvrir cette belle inconnue mystérieuse dont les pauses provocantes sont source de questions, j’ai envie de plonger mon regard dans le sien pour tenter de lire les plaisirs de cette féline séductrice dont la noblesse épicurienne n’est que bonheur, j’aie envie de libérer ma queue servile pour venir caresser ce corps qui au travers l’exhibition est devenu irrésistible, j’aie envie de m’étendre sur ce lit carré pour enfin jouer poursuivre infiniment ces préliminaires qui durent depuis 5 épisodes.
Impossible de résister au plaisir de se faire baiser par une telle déesse : j’apprécie la femme entreprenante et je rêve d’une Femme autant audacieuse qui fait l’amour pour nourrir son propre plaisir et non subir, qui impose son cul vénérable pour jouer avec sa proie, le corps objet de ses passions érotiques légitimes.
Que mes pensées, que vous avez réveillées brulantes en ce matin ensoleillé, vous accompagnent pour ce week-end. Que mes baisers sensuels vous offrent bonheur et détente pour les heures à venir.
Rédigé par : Claude | 24 avril 2010 à 08:22
A Claude :Vos commentaires sont toujours aussi élogieux Claude , je vous en remercie ....Vous aimez Sophia, elle est si belle dans sa course effrénée au plaisir...Des baisers
Rédigé par : Mystérieuse | 30 avril 2010 à 18:56
Vous connaissiez désormais ma passion pour l'hédonisme et Sophia, comme toutes vos héroïnes par ailleurs, me conditionnent dans le plaisir de vous servir et vous apporter l'attention que votre élégante féminité inspire.
Mes baisers plus qu'amicaux
Rédigé par : Claude | 30 avril 2010 à 19:39
Check that off the list of things I was cofnused about.
Rédigé par : Verle | 15 février 2012 à 09:40