Un blog est fait pour évoluer...Mon boudoir entrouve ses portes...
J"accueille ici aujourd'hui une de mes lectrices (ou lecteurs) , l'anonymat a ses mystères que je vénère.
Elle (ou il ) me fit parvenir une nouvelle que je vous offre ici une fois par semaine en épisodes...à sa demande, j'en suis flattée...
Donc voici le deuxième volet de La Louve, c'est ainsi que je l'ai intitulé, une nouvelle érotique écrite des mains de MamZelle...
"Venez. Allez, venez ici, approchez!" m'ordonne-t-elle.
Je sens alors mon sexe se gonfler. Je m'approche et me tiens droit devant elle. Elle lève ses yeux de biche vers moi. Je vois la buée sortir de sa bouche chaude à chaque expiration. Je sens déjà ma queue se blottir dans ce gouffre humide pour ressortir en bravant le vent froid et aussitôt s'engouffrer à nouveau jusqu'au fond de sa gorge.
"Que faites-vous?" me lance-t-elle d'un ton accusateur. Allez, approchez-vous plus près et regardez ce qu'il y a ici." dit-elle en écartant quelques branches pour mieux dégager un trou qui semblait être un terrier ou quelque chose du genre.
Je m'approche d'elle en guettant ses mouvements. Que me dit-elle réellement? Y a-t-il un double sens à ce qu'elle raconte?
"Vous trouvez pénible d'être coupé de vos proches? De vous adapter à un autre climat par choix. Vous choisissez cette vie. Vous voyez? Lorsque vous aurez construit la route, ces bestioles en subiront les conséquences sans avoir choisi cette vie." me dit-elle.
Malgré ses mots, seules ses lèvres me parlent. Je les sens enserrer mon gland et sa langue vigoureuse excitant son extrémité. Je me sens durcir dans sa bouche. Mes doigts sur sa nuque guidant ses mouvements. Mes mains pressant contre sa tête pour qu'elle m'accueille entier, mes bourses heurtant son menton. Des spasmes me parcourent l'échine. Je ne pu résister plus longtemps. Dans de longs va-et-vient, ma bite s’enfonce dans sa gorge et ressort tout aussi longuement, violemment fouettée par le vent glacial.
Je m'efforce de sortir de ses pensées perverses et m'agenouille devant elle. Je la regarde sans dire un mot, hypnotisé par son regard tropical et perdu dans mes fantasmes les plus fous.
« Jayson? »
Sa voix suave me sort brusquement de mes pensées.
"Ne croyez-vous pas qu'on devrait voir ça plus en profondeur?" dit-elle.
Quoi?! Que dit-elle? De quoi parle-t-elle? Houla! Voilà qu'elle affiche un sourire moqueur qui me confirme qu'elle a vu mon malaise. Je sais qu'elle sait. Elle sait que je sais. Je commence même à me demander si mon intuition de ses doubles sens serait juste. Et si elle avait aussi envie de moi. Ouf! Outch! Je m'approche d'elle et l'observe. Elle avance ses lèvres. Ses yeux me dévorent. Je saisis sa nuque et l'approche à moi. Je la relève et l'adosse à un arbre. Elle me résiste brusquement en me soufflant :
"Prend moi."
Le vent nous fouette le visage. J'ouvre son manteau et m'y glisse la main. Mon sexe gonflé se frotte contre sa chatte.
Subitement, je la relâche et retourne au camion sans rien dire. Elle me suit en silence. Nous montons à bord. J'emprunte la route de retour qui nous mène au camp. L'air est chaud. Très chaud. Elle se jette sur moi comme une lionne et défait ma braguette d'une main d'experte. Je tente de garder mes yeux sur la route sinueuse. D'un seul coup, sa bouche se remplit de ma queue. Je râle de plaisir. Décidément, la lionne est en chaleur. Sa langue décrit des cercles lents tout autour de mon gland. Mon envie de la prendre se fait de plus en plus intense. Par moment, ses dents pressent mon sexe sans jamais me faire trop mal. Sa bouche experte m'affole. Elle connait si bien la limite de la douleur supportable et excitante. Elle me suce goulûment jusqu'au point de rupture et, subitement, elle s'arrête, à peine redressée elle me regarde et me lance :
"Avouez que vous aimez! Avouez que vous souhaiteriez que je poursuive."
Ah! La salope! J'empoigne sa nuque et je la remets au travail.
"Suce-moi! Allez, suce-moi salope. Je t'offrirai ma semence en récompense."
Chaque trou, chaque bosse sur la route enfonce ma queue au fond de sa gorge. Ma main relâche sa nuque et, à tâtons, elle cherche ses seins sous ses vêtements. Elle sursaute à la froideur de mes doigts qui pincent la pointe de ses seins. Je les fais rouler entre mes doigts alors qu'elle geint la bouche pleine de mon sexe gonflé. J'ai du mal à retenir l'explosion éminente. Nous arrivons bientôt au camp. J'agrippe sa chevelure et lui retire son suçon au moment où j'emprunte le dernier virage avant notre destination.
Il est 14h00. Les hommes de chantier s'affairent à leurs tâches sur les grues, les excavatrices et les bulldozers. Je la conduis dans la roulotte qui fait office de bureau de chantier sans même prendre le temps de remonter ma braguette. À l'intérieur, Nic, le jeune ingénieur en chef du chantier, m'attend pour des mesures avant le raccordement de la station de pompage. À nous voir, il saisit bien ce qu'il se passe et me décroche un sourire complice. Laura est visiblement mal à l'aise. Aurait-elle envie qu'on la prenne à deux? Je la vois dévisager Nic alors qu'il la déshabille du regard.
"Nic, si tu veux bien nous laisser, Mademoiselle McArthur et moi avons une discussion à terminer" lance-je.
Il sort de son hypnose et insiste :
"J'ai besoin d'infos pour raccorder la station de pompage."
Je lui lance un regard assassin pour qu'il saisisse bien que ma queue veut, elle aussi, s'employer à se raccorder à une autre station de pompage.
"Je reviendrai tout à l'heure." dit-il débouté en refermant la porte de la roulotte dernière lui.
MamZelle
A suivre la semaine prochaine ...
C'est un plaisir de lire ces lignes.
Je crois qu'à sa place je n'aurais pas su attendre jusqu'au retour au camp. *rire*
Et je crois aussi que le raccordement à la station de pompage (que constitue la bouche de la belle) est tout trouvé, non ?
(oups !)
Merci.
Rédigé par : Libertin_123 | 30 décembre 2009 à 20:45
A L:Félicitons MamZelle,dont je ne sais à ce jour si elle est fille ou garçon, je dois l'avouer. J'opterai pour un garçon, excusez moi MamZelle,vous aimez le Mystère , je l'aime aussi . Tu aimes , cher L.(très coquin), alors écriture au féminin ou au masculin?
Rédigé par : Mystérieuse | 30 décembre 2009 à 21:07