Qui de mes papilles gustatives ou de mes sens visuels furent le plus sollicités à cet instant, je ne saurais vous le décrire.
La dégustation dont je comptais l’honorer, m’avait plongé dans un état d’excitation des plus valorisants sur mon membre bandé à l’extrême. Le champagne ruisselant sur cette peau fraîche et frissonnante, jusque dans les replis les plus cachés et les plus chauds de Jacky, j'en salivais d'avance.
Bijou unique en son écrin, perle fine du pacifique, orchidée exotique, son sexe m’attirait comme un trésor à découvrir.
Mon regard plongé au cœur de son sexe nacré , aussi doux que les pétales d’une rose, mon regard pouvait deviner son bouton palpiter au même rythme que sa poitrine soulevée par une respiration de plus en plus désordonnée et suppliante.
M’approchant au plus près sans même l’effleurer si ce n’est de mes lèvres et de ma langue, je lapais chaque goutte de champagne me menant comme un sentier lumineux jusqu’aux abords de sa grotte secrète déjà inondée, dans l’attente fébrile d’être savourée, de sa sève odorante aux pouvoirs aphrodisiaques.
Entre ses cuisses largement ouvertes, ma main s’emparait de son clitoris, le malmenant d’abord, le caressant ensuite, puis alternant les deux cadences afin de récolter une succession de gémissements, de supplications et d’abandon.
Je résistai du mieux que je pus, avant que de plonger ma tête en son triangle érotique diaboliquement attirant pour en récolter le nectar dont elle m’offrit la dégustation en ondulations en synergie parfaite avec mes aspirations.
J’ai en mémoire son regard plongé dans le mien, parfois teinté d’une lueur lubrique, tantôt au bord de la rupture sous mes coups de langues agiles explorant chacun des replis de son sexe.
Son bourgeon dressé accueillait mon érotique exploration dans une complainte sensuellement réprimée tant la clameur de son plaisir retentissait dans la pièce en longs cris, manquant par instant de lui couper la respiration.
Lubrifiant mes doigts à la liqueur de son plaisir, j’en inondais le sillon de sa croupe jusqu’à cette délicieuse étoile si serrée mais si offerte à la fois dont elle m’offrait la possibilité d’une invasion se cambrant à se rompre les reins.
Lorsque mes doigts pénétrèrent sa fente largement ouverte, elle me toisa du regard avant que de le décliner et de se retourner délicieusement sensuelle, offrant à ma légitime voracité masculine la vision de son cul haut et rond, ses fesses peu écartées, angle de vision que je prenais soin d’agrandir de mes mains avides de sa croupe indécente.
Sa cambrure était telle qu’elle m’offrait une vision panoramique et de son sexe ruisselant de désir et de son étoile brune anticipant mes intentions d’honorer comme il se doit un tel cul plein de promesses concupiscentes.
Je n’eu pas le reflexe de retenir ma main qui claqua puissamment sur la rondeur de sa fesse gauche, lui infligeant une totale soumission à mes envies sodomites.
Sa réaction fut immédiate, une ondulante contorsion de son bassin de droite à gauche, m’invitant, comment refuser l’invitation, à renouveler la correction plus forte et plus violente sur la fesse restait en reste de ma domination.
Entièrement offerte à ma dévotion, sa cambrure vertigineuse jusqu’à sa nuque de ses cheveux auréolée, elle m’offrit l’espace d’un instant la beauté diabolique d’une maîtresse avide de baise et de plaisir.
Ma positionnant derrière elle, bestialement j’attrapais un de ses seins, le pétrissant, pinçant son téton jusqu’à lui arracher un cri de douceur, je lui offrais, enfin, entre ses lèvres trempées, le plaisir de se sentir possédée par mon vit douloureux tant il était bandé.
Mes deux mains sur ses hanches ondulantes et frissonnantes de plaisir, je la pénétrais, m’enfonçant en elle sans aucun effort, avant que de ressentir ses muscles intimes enserrer ma queue, l’emprisonnant dans un étau humide et chaud.
Je remettais à plus tard mes attirances pour sa pleine lune, approfondissant mes assauts viril, à la recherche de son plaisir dont elle traduisait l’envahissement tantôt par des "ouiii", tantôt par des "nonnn", ou bien encore des "plus fort, plus loin, encoooore, t’arrêtes pas."
Ses souffles, ses gémissements retentissants, résonnant dans la nuit complice de notre charnelle attirance conduisaient chacun de mes coulissements dans son brûlant fourreau.
Sa respiration haletante, l’appauvrissement de son souffle m’annoncèrent l’onde dévastatrice qui allait la submerger, m’invitant par la même occasion à libérer ma jouissance.
Elle recueillit entre ses reins, le jet puissant de ma semence, encore ondulante des violentes secousses dont j’avais honoré son antre, ma plainte de plaisir rejoignant en synergie la complainte de son extase orgasmique.
J’embrassais son corps encore humide de la sueur de nos ébats, de la nuque, jusqu’à la chute de ses reins, sur ces délicieuses fossettes à la base de ses fesses, lui assénait une nouvelle claque sur son cul haut perché, avant que de l’inviter à se retourner.
Elle se retourna et m’embrassa .je me couchais sur elle, l’enveloppant de mes bras, de tout mon corps puis la serrant puissamment contre moi.
Elle éclata en sanglots.
Confondu, je la questionnais
« Qu’ai-je fait ?
-Tu m’as fait découvrir le plaisir, je pleure de plaisir »
Aucun de mes baisers n’eut raison de ses larmes, rivière troublante de sa sensibilité féminine dont seules les femmes comblées ont le privilège.
Je passais ma main dans ses cheveux, attendri, avant de serrer un peu plus son corps encore frissonnant de plaisir.
A cet instant mes sentiments oscillèrent entre compassion et fierté masculine, légitime orgueil masculin.
Du désir, c'est ce que m'inspirent le plus ces mots.
Le jeune groom sera-t-il de la partie cette fois ci ? (surtout s'il a entendu "la louve" hurler à la lune...)
Alors, bien sûr, une suite !!
Rédigé par : The Blade | 16 février 2009 à 17:31
A the blade:du désir ....poursuivons donc mon cher ...Connaitriez-vous une louve?
Rédigé par : mysterieuse | 17 février 2009 à 12:00
Pour sûr, Madame, j'en connais une,
De celles qui hurlent à la lune,
le soir venu,
à demi-nue,
empalé sur le vit d'un illustre inconnu.
Rédigé par : The Blade | 18 février 2009 à 09:05