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Avec lui, elle pourrait faire vœu de volupté.
Il l’hypnotise, par ses excès de lubricité et ses désirs de fantasmagoriques appétences.
Quand son regard, éclat brillant, sur sa cambrure indécente métabolise sa sensuelle attirance en une forme de dépendance, elle dynamise sa féminité d’une émouvante séduction.
L’ondulation de son bassin, sa croupe ronde, ses seins dressés, elle réclame dans l’impudeur de ses méfaits qu’il la dévore avant même de l’avoir goûtée.
Elle diabolise son image pour ne point trop vite succomber à ses morsures humides et douces qu’en sa chair tendre il inocule comme un délicieux poison censuré.
Lorsque ses lèvres exquises investissent les siennes en un baiser cruellement humide de persuasion, elle décline, y perd son autorité de garce féminine pour laisser place en confusion à une douce salope soumise à ses aspirations de mâle perverti par cette troublante féminité capable de tout pour le captiver.
C’est ce désir voluptueux qui les conduit, qui les malmène.
Préliminaires audacieux, détournements concupiscents, suaves étreintes si mystérieuses, frissons fiévreux de leurs attraits les mènent, amants tumultueux vers une ébauche sensorielle bien au-delà du merveilleux.
Animalement féminine dans ses approches pour le charnel, elle dirige, insidieuse, son troublant mâle en bienveillantes caresses vers la diaboliquement mystérieux de la source de ses désirs.
Ils ne s’aiment pas, ils se désirent, quitte à s’aimer sans se le dire, le temps du plaisir, le temps que cette vague perpétuellement renouvelée par les envies, le temps que cette jouissance aussi fulgurante que brève les crucifie.
Ils sont amants, ils sont maudits, mais pour l’instant dans la pénombre de leurs péchés, ils vont s’aimer jusqu’à crier, jusqu’à pleurer de douces et violentes larmes de plaisir avant que de délier leurs corps unis par une bouleversante complicité.
Amants pour le pire et le pervers de leurs étreintes diabolisés par le fantôme malveillant des biens pensants d’une morale démodée ,ils sacralisent leurs ébats d’une immorale indécence que le destin leur a dictée.
© 2008 Mystérieuse
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