Entre désir fou et colère, avec une violence à peine contenue, Armand s’était extirpé du fauteuil, avait saisi Léa par la taille la malmenant jusqu’à la fenêtre.
Elle avait regardé au travers du vieux carreau embué, découvrant un lourd paysage enneigé écrasé de ce silence particulier qui accompagne les chutes de neige.
Posant ses mains fragiles sur le rebord de la fenêtre, elle s’était laissée brutaliser par les gestes désordonnés d’Armand cherchant à retrousser ses jupons.
Il avait soudain perdu toute notion de bienveillance, se confrontant à une robe, qui si séduisante quelques instants auparavant, était devenue un vrai calvaire.
Cette situation avait quelque peu amusé Léa, qui s’était surprise à sourire dans le reflet du verre à peine éclairé des flammes du foyer.
Dénouant, tiraillant les liens qui ceinturaient la taille de sa belle , elle l’avait même entendu jurer sur ces robes d’antan...
« C’est quoi cette merde.. »
Les jupons avaient fini par céder, lui dévoilant enfin ce corps nu tant désiré.
Le jeans encore en accordéon sur ses chevilles, il avait inconsciemment obligé Léa à se pencher en avant pour enfin pouvoir perdre son sexe entre ses chairs gourmandes
Emettant un léger gémissement quand il l’avait pénétrée sans ménagement, elle avait cambré sa croupe pour une prise plus puissante, plus profonde, un désir violent d’être posséder.
A la manière un peu rustre d’un bûcheron Armand avait accompagné ses va et vient de han dont Léa avait joui de leur bestialité.
Le silence environnant perturbé bruyamment par les bruits de leur jouissance conjuguée donnait une note presque magique à cette étreinte improvisée.
Léa s’était faite plus chienne, des mots obscènes s’échappaient de ses lèvres entrouvertes, entrecoupés de gémissement et de soupirs, de supplications pour plus de plaisir.
Armand n’avait pas tenu la cadence bien longtemps, hypnotisé par ce cul qui maintenant le malmenait dans tous les sens .Les mains bien campés sur les hanches de Léa, ses ongles sur la rondeur de ses fesses, Armand avait explosé d’un seul coup .Elle avait crié à l’instant même où elle avait senti le liquide chaud de répandre en elle.
Ils étaient restés ainsi un instant, son sexe planté en elle, jusqu’à ce que la queue débandé d’Armand l’abandonne doucement.
Alors elle s’était retournée, et l’avait embrassé violemment l’empêchant presque de respirer.
A suivre...
Ben ma foi, tout ceci me paraît parfait quoique un peu rapide pour vous Belle Léa...Mais la bestialité a parfois du bon, question de goût
Baisers (les miens en ont...du goût hiiiiii)
JM
Rédigé par : peter pan | 12 septembre 2007 à 21:58