Ma voix encore engluée d’accents rauques la réclame.
"Viens sur moi, je te veux, te sentir t’empaler. Viens Dominique te balancer sur ma queue, je n’ai que trop attendu cet instant."
Vais-je résister longtemps à ses bercements, ses frottements détrempés sur mon sexe affolé ?
Je la sens si fiévreuse, la délicate femme se fait soudain plus chienne, j’aimerais tant pouvoir la regarder me chevaucher, me délecter de son regard lorsque je la prendrais...
Sa fièvre la déchaine, elle m’inonde de mots salasses avant même de sentir mon sexe la combler...
Je n’y résiste pas, j’arrache mon bandeau....elle ne me voit pas, mais ses yeux me manquent ...
Sa bouche m’inonde de paroles de prières...
« Je te veux , je te veux longtemps en moi, je veux m’en souvenir toute ma vie .Laisse moi croire pour ce soir que tu es à moi pour toujours, laisse moi rêver un instant...Une seule fois, je le sais ,nous le savons après ce sera fini, je n’aurais plus que le souvenir de ta queue plantée en moi dans le noir ,tes soupirs et tes cris dans mes oreilles..."
Son désir lui arrache des sanglots, je m’assis au bord du lit, d’une main bâillonne sa bouche :
"Chut tais toi, Dominique offre toi, ouvre toi à moi, écarte ta chatte pour m’accueillir au plus profond de toi"
Dans la pénombre de la chambre je devine la rondeur de ses hanches, elle est encore plus belle que je ne l’avais imaginée. Un petit ventre légèrement rond s’approche de moi, de mon sexe bandé à l’extrême, j’en frémis à l’idée d’enfin le pénétrer.
Comment lui avouer qu’elle est belle sans éveiller ses soupçons...
Assis au bord du lit, je la saisis sous les fesses, mes doigts s’enfoncent presque cruels dans ses chairs accueillantes.
Elle me parait si docile et fragile à cet instant précis que je la soulève avec une force tranquille, la disposant au dessus de moi.
J’accompagne sa descente, mon sexe glisse dans cette divine auréole....je m’ancre loin, très loin en elle, elle gémit de désir ou de plaisir, je ne sais plus, elle se déchaine sur mon pieu, arcboutée, la tête renversée.
"Tu me fais tellement bander. Oui Empale toi ainsi, garde moi ainsi au chaud, bien serré autour de moi ne bouges pas Dominique, je vais jouir ..."
L’un dans l’autre, elle noue ses jambes autour des miennes, enlace mon cou, mes bras ceinturent puissamment sa taille comme pour mieux la posséder, la faire coulisser...
Je prends conscience de ma domination virile quand maître de ses chairs, mes paroles se déchainent resplendissantes d’obscénités la faisant tressaillir un peu plus chaque fois.
Ses sursauts involontaires, l’étreinte de son sexe sur le mien, sa poitrine malmenée par sa terrible chevauchée, la rendent diaboliquement irrésistible.
Je la sens crucifiée dans l’extase, ses voluptueux gémissements en témoignent...
Je ne vais plus résister très longtemps
« Laisse moi te dévorer, laisse moi bouger, te faire exploser, laisse moi te baiser, laisse toi aller
-Non arrête, pas encore, pas de suite, nous avons tout le temps »
Je quitte son entrecuisse un peu violemment et le long de sa fente, sans ménagement, je la fouille, entre ses lèvres béantes, va et vient obstinés qui libèrent une ondée entre mes doigts audacieux.
Tu voulais me manger tout cru, mais tu vois je te domine, ta chatte à présent est à moi....
A suivre...
Slt,
Pour que le plaisir soit complet, j'ai pris Massive Attack sur Radioblog: plus long....
Bisous.
Rédigé par : Anonyme | 29 août 2007 à 13:43