Elle n'est plus qu'une ombre aux courbes féminines qui s'estompe
au fil des jours, ponctuée par les silences et les regards fuyants
d'un amour qui brûle corps et âme entre ses chairs meurtries.
Derrière les barreaux d'une prison dorée ,elle a du vague à l'âme et
ne sait que pleurer sur sa naïveté et sa persévérance à espérer de lui
qu'il veuille bien un jour avouer son secret...
Utopie féminine,passion démesurée pour un cruel désir qu'il ne veut honorer.
Elle pleure la magie d''un amour envolé,redoute l'échéance d'un mort
annoncée,appelle à sa clémence pour ne plus délirer.
Illusoire beauté de deux destins croisés,désillusion et peine ont fait Ainsi va la vie....plus grise qu'irisée ,des jours sans lendemain
place ,sans jamais l'annoncer, à un grand désespoir sournois et
indélébile ,imprimant son passé d'un bonheur avorté et son avenir
d'une fatale noiceur.
elle ne peut qu'espérer...mais puisqu'il faut survivre,alors elle
survivra!
Elle lui dédit ces mots ,paroles d'épitaphe,sur la dalle glacée de sa
féminité qu'il a toujours refusée, ne serait-ce qu'effleurer!
Le cri d'amour d'un mystérieux petit oiseau dont les ailes sont trop longues pour demeurer dans sa belle cage dorée...
Rédigé par : L'oiseleur | 09 mai 2007 à 17:03
Quand le rouge me monte aux lèvres, d'un battement de cil je bouge en d'autres lieux plus propices à ce genres d'exercices...
"La chasse aux sorcières" qu'elle soit d'indochine ou d'ailleurs existes toujours pour qui sait apercevoir ses contours...
"Le grand choc pour les plus vicieux" est présage de moments aussi peu sages que les frontières de notre imaginaire.
Laisse taire les raisonnables et prends ma main encore une fois pour faire table rase de tous ces "n'importe quoi"...
Un et une font deux, un et un font deux, une et une font deux, le principal est d'etre deux...
Effel... les temps sont dures pour les jusque-boutistes...
Rédigé par : effel | 10 mai 2007 à 16:58