Une chaleur accablante donne à mon corps délaissé une brillance particulière, celle d’un désir par la température exacerbée.
Une France, une Europe par le foot absorbées, une femme esseulée par le désir rongée attend dans l’impatience un signe, un appel qui la ferait vibrer.Elle y croit, elle l’espère dans le silence lourd d’une nuit étoilée.
Face à elle un écran qui laisse deviner de drôles de playmobils par une balle aimantés.Du rouge, du blanc du vert défile sous mes yeux, un fondu de couleurs qui anime une colère que je ne peux contrôler.
Cette colère me porte, donne chaleur à mon corps et fait crier mon sexe, appelle à ta chaleur !
Je l’entends murmurer, s’animer, vibrer....
Tes mains il revendique, tes mots et tes caresses en secret il espère, mais le silence est là imperturbable et lourd.
Appelle moi mon amour, murmure moi les mots que je voudrais entendre, donne à ce corps hurlant toute son indécence !
Je me voudrais catin pour mieux te faire bander, quitte à te faire oublier celles que tu as aimées, impudiques ou troublantes, puritaines ou coquines, endosser tous les rôles pour mieux te captiver.
Pourra-t-il pardonner ces quelques mots rédigés dans l’urgence d’un désir si présent qu’il en devient souffrance !
Mais soudain mes doigts gèrent, cette absence douloureuse, glissent bien malgré moi entre mes cuisses moites remontent à l’interstice de mon lieu de délice.Ils cherchent le plaisir, délivrant quelques gouttes d’un miel édulcoré légèrement épicé. Je les porte à mes lèvres, te les fais savourer, je te sens si présent quand mon désir sévit.
Aimes tu ma saveur, veux tu t’en délecter et me rendre au quintuple ce désir dévorant qui me fait chavirer ?
Je te voudrais présent, orgueilleux et bandant, prêt à me pénétrer par tous les orifices que la nature complice m’a donnés.
Des aveux indécents que le désir me dicte !
Pourra-t-il pardonner ces quelques mots rédigés dans l’urgence d’un désir si présent qu’il en devient souffrance ?
Mes caresses pressantes me portent en volupté vers ma délivrance !
Ma respiration se fait plus haletante, un souffle court et chaud que je voudrais t’offrir, rythme dans la douceur mon corps offert au plaisir !
Une chaleur m’envahit, l’orgasme me possède et dans le silence de la nuit c’est ton nom que je cris
La souffrance du plaisir se fait évanescente !
Prête un instant tes lèvres que je puisse partager tout le plaisir que tu viens de m’offrir dans ce long baiser suave que tu ne m’as pas donné...
Pourra-t-il pardonner ces quelques mots rédigés dans l’urgence d’un désir si présent qu’il en devient souffrance.
mon amour,
regarde ce membre érigé à ta gloire, il n'a d'yeux que pour toi, donne lui ta passion il t'en donnera sa jouissance ....
Rédigé par : charmithorinx | 06 juillet 2006 à 14:42
Quel pied ... que dis-je, what a foot ...
Si tu tires sur la barre, je reviens dans le rond central.
Je te ferais volontiers une passe.
Rédigé par : Vivrenvies | 11 juillet 2006 à 19:44