Le ketch avait pris une bonne allure de croisière.Les îles n’étaient pas très loin du port d’attache et le couple avait su profiter de la brise marine pour accélérer leur course.Le bateau à la gîte ne laissait aucune place à quelques étreintes teintées de sensualité.Seuls les regards se croisaient, les sourires s’échangeaient sans qu’une parole ne soit prononcée.De toute évidence,l’attente de l’ancrage dans la baie face aux îles leur procurait réciproquement un désir grandissant.Juliette en avait profiter pour s’allonger nue au soleil pour capter ces rayons de soleil qu’elle aimait tant ressentir lui mordre la peau.
Julien avait profité de ce bain de soleil pour caresser doucement ce corps offert au soleil et aux embruns.Il avait presque méthodiquement huilé ce corps doré en commençant par la nuque.Juliette avait senti deux mains puissantes glisser le long de son dos, suivant parfaitement ses courbes jusqu’à la chute de ses reins.
Elle aimait cette sensation très spéciale de deviner ses formes sous des mains viriles.S’attardant sur ses fesses rondes, Julien avait poussé plus loin le massage.Glissant ses doigts huilés ente les fesses de Juliette, il avait deviné une femme offerte .Sa cambrure s’était accentuée sous les mains audacieuses, dévoilant un sexe impudique et vibrant.
Juliette s’était abandonné sous les effleurements de son hôte, fermant les yeux pour savourer intensément les frissons qui parcouraient tout son être.Son bassin ondulait
Doucement il avait accepté l’invitation de ces lèvres palpitantes à des approches plus audacieuse.L’impudeur de Juliette le séduisait, ce cul si rond offert impunément lui avait donné l’envie de la transpercer là dans l’instant.
Mais ses doigts s’était fait traducteurs de ses désirs et avait cherché le plaisir de Juliette en caressant son bouton de plaisir déjà gonflé par le désir ! Juliette mordait ses lèvres pour ne pas laisser échapper quelques cris étouffés par le bruit de la carène du voilier dans l’eau.La jouissance était présente prête à exploser, son sexe ruisselant de plaisir la trahissait.
Mais Julien avait soudainement arrêté là ses caresses, la laissant doucement reprendre ses esprits avant de lui donner un léger baiser sur le sexe gourmand de Juliette accompagné d’un léger souffle pour apaiser les morsures brûlantes du plaisir.
Elle s’était relevée doucement, pudiquement pour aller chercher les quelques viennoiseries qu’elle avait apportées.
Mordant goulûment dans un croissant, elle était soudain redevenue la petite fille que Julien avait accueillie au port.
Fragile, sensuelle, tantôt très femme, tantôt gamine, il n’aurait pas fallu beaucoup pour qu’il tombe vite amoureux.Il avait senti son cœur battre dans un désordre inhabituel, preuve irréfutable que cette femme le troublait plus qu’à l’ordinaire.
L'été est là, caressant...
Rédigé par : modimo | 27 juin 2006 à 23:29
Toujours aussi suave ...
Rédigé par : Vivrenvies | 28 juin 2006 à 18:32