Dans une ambiance azuréenne, Juliette, la quarantaine sonnante, peuplait son monde de chimères, sautogérait dans un monde quelle cultivait comme un mystère.
Elle sétait enfermée dans un monde artistique au travers de ses pinceaux et ses fusains pour faire naître sur le grain épais des papiers dessins ,des silhouettes féminines toujours a demi dénudées et sans lombre dun sourire. Le flou artistique qui lhabitait lavait conduite bien naturellement à coucher doucement des lettres sur feuille blanche, et la technologie aidant, elle avait pour son plus grand plaisir découvert lunivers des « Blogs ».
Juliette portée par un désir de culture avait adhéré rapidement à ce nouveau portail intellectuel et littéraire et avec application elle sétait mise à écrire un journal intime quelle soumettait à ses lecteurs sans un soupçon de pudeur en toute liberté.
De lérotisme , elle leur donnait, de ses fantasmes elle nourrissait, tous ses lecteurs, des hommes en majorité.
Elle éprouvait une véritable jouissance à lécriture de tous ces mots qui mis bout à bout vous plongez comme dans un boudoir mystérieux
Ses lecteurs de plus en pus nombreux elle les savourait, comme les mails quelle recevait qui lui procuraient une certaine satisfaction bien légitime.
Pourtant il en était un ,parmi ses chers fidèles admirateurs de sa littérature érotique ,quelle appréciait plus particulièrement.Il avait su linterpeller,lui avouer sans détour que tout son corps il désirait,dans un langage peu châtié, et cela lavait excité ,elle ,Juliette !
Un certaine distance les séparait , mais le désir vibrant en elle , de cet homme quelle ne connaissait quau travers de quelques mails ou quelques mots au téléphone,lavait poussé à braver les quelques barrières qui lentravaient,et son manque de liberté en premier lieu.
Cet homme elle le désirait en elle, elle avait décidé de le rejoindre à Paris où il lattendait avec ce même désir de possession.
Sans un soupçon de culpabilité face à son mari qui ladorait, elle avait élaboré un plan scabreux, pour couper la laisse de soie ou de satin avec laquelle il la tenait.
Avec une audace déconcertante Juliette avait part à son mari, de son projet de répondre à des rendez- vous littéraires, et avec un aplomb que seul le désir dune autre pouvait guider, elle lui avait annoncé dun ton serein
« Je pars demain et pour trois jours à Paris » et ce faisant elle lui avait doucement donné un baiser sur ses lèvres, prit sa main pour la glisser sous la soie de sa robe pour être sure de nobtenir quune approbation.
Son pouvoir de séduction sur son mari était son seul moyen de persuasion.
Au sourire quil lui rendit doublé de convoitise, elle comprit quelle venait de gagner son billet pour une aventure bien insolite avec un homme quelle allait découvrir en même temps quil la découvrirait.
Le lendemain elle quittait le tarmac azuréen, avec pour seul bagage, un « baise-en- ville » révélateur du but de son déplacement sur la capitale.
Elle avait choisi pour ce premier rendez, une tenue très féminine, consciente que cest cette féminité qui avait séduit son inconnu. Elle avait accordé une importance particulière aux choix de sa lingerie dont elle était si friande et avec laquelle elle jouait avec beaucoup de séduction.
Tout le long du vol qui la transportait vers cette aventure bien excitante, elle sétait cantonnée à écrire ses états d âme du moment inspirés par les étreintes à venir quelle devinait.
Mais le mystère restait entier serait il séduit par elle, aurait il envie de la baiser comme elle même le désirait.
Cette relation dans lillicite lui ouvrait les portes dune liberté érotique dont elle comptait bien faire profiter ce partenaire potentiel. Pour lui, si il le désirait elle serait chatte, louve et tigresse à la fois, une féline sans une once de tabous, à la limite de la folie elle lui offrirait tous ses orgasmes pour leur plaisir, ceux quon dit des plus interdits.
Avant de toucher le sol parisien elle avait relu avec application les quelques lignes que cet aventure lui suggérait.
« Une femme nue dans lattente dun regard de celui quelle désire. Mais il nest pas venu, et il ne viendra pas. Elle erre déconcertée dans lespace qui lentoure, en proie à des désirs quelle ne peut partager. Ses mains soudain la cherchent, caressent chaque parcelle de son corps oublié. Elle découvre un plaisir qui létreint, la dévore, labsence en cet instant de lêtre désiré conjugue jouissance et souffrance pour une extase censurée ! Censure du plaisir quelle ne peut lui donner, censure de ses yeux quil na pas voulu poser sur cette femme en partance pour un monde fait dinterdit et de sensualité. Soumise, jamais rebelle aux désirs de lamant volage et séduisant, elle vit dans lespérance de son retour prochain dans son univers ! »
Ces quelques lignes quelle venait décrire était le reflet de la crainte naissante qui lhabitait quand à un rendez vous manqué. Il lavait pourtant invité à se rendre chez lui et cette confiance sans faille avait frappé son esprit. Mais elle avait cependant préféré réserver une chambre dhôtel non loin du lieu de rendez, peu habituée quelle était à se promener seule dans les rues de la capitale. Elle avait même envisagé de linviter à se rendre dans la chambre qui laccueillait. Mais elle nenvisageait rien elle laissait aller son destin fait dinterdit et de désir.
Des son arrivée à Orly, elle lavait appelle pour le prévenir quelle était bien sur Paris.Empressé quil était denfin la découvrir, il lui avait donné un rendez vous dans linstant.
« Dépêche toi de venir, je tattend »
Elle avait griffonne ladresse sur un bout de papier, et sans même prendre le temps de passer par son hôtel, avait rejoint en taxi le lieu de rendez-vous.Le chauffeur de taxi qui navait pas saisi le numéro lavait déposé, au début de la rue, elle avait du marcher, le temps de méditer à ce qui lattendait.Un numéro, un immeuble, un interphone, une voix qui lui dit
« Enfin, te voila »
Un ascenseur exigu, un couloir, une porte entrouverte quelle pousse doucement.Il est la dans lentrée et elle couverte emmitouflée, le fond de lair est froid en cette saison sur la capitale.
Sans même prendre le temps de lui prêter un regard,il lavait embrassé dun long baiser fougueux,glisser ses mains avides de ses fesses sous le long manteau qui la recouvrait.la fougue de létreinte avait en un instant fait monter les degrés de sa féminité .Elle avait laisser choir son sac négligemment pour se donner entière à la fougueuse envie qui habitait son amant.Se défaisant de létreinte qui la faisait décliner,elle avait jeté son manteau à terre,il lavait découverte dans sa féminité.Les mains de lhomme avide de ce corps qui soffrait se promenaient partout sur ce corps accueillant.Il lavait entraîné ainsi jusqu'à la chambre où un grand lit les attendaient pour de folles étreintes.Elle sétait effeuille sans aucune pudeur devant celui qui découvrait son corps de femme mature.Son regard se voulait admirateur de ses courbes latines et laissaient présager une relation torride sous la couette enlacés.Juliette très charnelle et tactile sétait laisse aller sous les caresses impudiques de cet amant providentiel.Elle le désirait en elle ses doigts glissaient à la recherche du plaisir quil voulait lui donner.En proie a ses démons et lui offrait son corps et ses fesses en partage.Plus il la caressait et plus elle secambrait, laissait aller son corps à des mouvances torrides qui le faisait bander au delà de ses espérances.Sous la vision de ce vit près à la pénétrer,ses mais sétaient faites libertines ,et parcourant un chemin sur le corps de lamant, elle sétait arrête sur ce membre viril pour lui prodiguer des caresses appliquées .Elle sétait plu en ces merveilleux instants à regarder cet homme,à croiser son regard dans l espoir quil sabandonne à ses cruelles prouesses.Mais cest son regard à elle qui avait décliné,tant le fier sexe tendu de son amant entre ses lèvres elle désirait.Il sétait laisse faire quand sa langue experte sur son sexe ,elle avait promené, ne laissant lui échapper aucune parcelle de la douceur du phallus.Puis avec une application presque protocolaire ,entre ses lèvres ouvertes elle lavait englouti,et les gémissement quelle lui avait volé,lui donnait un plaisir quen elle elle contenait.Lui aggripant les fesses ,le griffant des ses ongles,elle lui donnait partage dans cette fellation.Au bord de la jouissance, il sétait arrache a cette étreinte buccale,et lavait retourné sans grande délicatesse, avide quil était denfin pouvoir la pénétrer. Sur la cambrure de ses reins il sétait appuyé ,pour que Juliette pousse plus haut ces fesses arrondies et offertes entre les quelles il voulait simitier.Le sexe de son amant ,ce dard impressionnant lui avait arrache un cri quand son sexe il avait pénètre. Ses assauts, ses étreintes et tous ses va et vient lui procurèrent ensuite un plaisir divin .De vibrantes secousses habitaient tout son corps,un chaleur intense lui avaient fait perdre les sens ,le corps fourbu par cet amant expert,elle sétait perdue dans un orgasme diabolique quant il sétait déversé dans ses chairs et son ventre.Une passion fugace,pour un plaisir extrême,ensemble ils avaient joui dans une extase fusionnelle.
Ce nest juste après que le plaisir sestompe quelle avait prononcé son prénom Pierre, et quelle avait donné un léger baiser.
Une toilette envoûtante sen était suivie quand sur elle, pierre avait déposé des baisers délicieux sur sa peau de satin, amant délicieux !
Elle sétait à peine revêtue, lui laissant déguster ses courbes généreuses, ses lourds seins arrondis encore avides de lèvres et de caresses, mais lui avait interdit toute cajoleries.
Cest ainsi vêtue dun simple chemisier quelle avait partagé avec lui un léger repas au cours duquel ils avaient beaucoup parlé.Cet homme la séduisait, elle aimait son regard et la manière dont il lavait baise. Elle le trouvait brillant et une certaine complicité sétait vite installée entre eux. Ils sétaient découverts et sétaient promis de se revoir, ils le désiraient tous les deux.
Mais le temps les avait rattrapé et Juliette avait quitté Pierre, heureuse de lavoir croisé sur son chemin, un léger baiser les avait séparé.
Elle ne le revit pas, elle ne pouvait pas, par un manque liberté elle était enchaînée et pourtant encore aujourdhui en elle, elle le désire !
ces ecrits sont dédiés à un homme croisé au hasard d'un blog.
MYSTERIEUSE
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